Fatoumata Kandé pratique l’athlétisme depuis l’âge de 16 ans. Spécialisée en 1 000 et 5 000 mètres, elle est devenue une star, à force de cumuler les trophées nationaux : 10 médailles d’or, 8 médailles d’argent et une bronze.
Mais, en 2019, sa carrière a basculé.
“Actuellement, je ne peux plus pratiquer l’athlétisme ni participer à des compétitions régionales et nationales. Je souffre de maux de tête persistants. Ce qui m’empêche de pratiquer mon sport favori’’, confie-t-elle. La championne regrette de n’avoir jamais eu “de soutien de la part de l’Etat ou des autorités locales’’.
C’est pourquoi, elle lance un appel à toute personne de bonne volonté qui pourra l’aider financièrement, afin qu’elle puisse se faire soigner. “Je suis issue d’une famille pauvre. Si j’ai quelqu’un qui peut m’aider à me soigner de ces maux de tête, cela me permettra de poursuivre ma carrière et continuer à faire la fierté du Fouladou, en particulier et du Sénégal, en général.’
Pourtant, 4 années durant, Fatoumata Kandé a battu des records au niveau national sur 5 000 mètres. Ce qui lui a valu d'être championne nationale en athlétisme. Elle a récolté plusieurs médailles d’or et d’argent.
“En 2016, j’ai été championne du Sénégal sur 1 000 mètres au stade Léopold Sédar Senghor. En 2017, j’ai été vice-championne du Sénégal. Et en 2018, j’ai beaucoup travaillé pour devenir championne du Sénégal sur 5 000 mètres. Mais en 2019, c’est là que les maux de tête ont commencé. Ce qui explique ma 2e place sur 5000 mètres. Depuis lors, les maux de tête ne m’ont plus permis de pratiquer mon sport.’’
La native de Boussoura, localité située dans la commune de Tankanto Escale, région de Kolda, est terrassée par les maux de tête qui ont freiné ses activités sportives. Faute de moyens financiers, Fatoumata Kandé a abandonné l’athlétisme la mort dans l’âme, dit-elle
Alors qu’elle était au CEM II de Kolda, Fatoumata Kandé a abandonné ses études en classe de 4e au profit de l’athlétisme. Car, elle rêvait de devenir une championne mondiale. Mais le destin en a décidé autrement. Elle ne se décourage pas. Elle estime qu’un jour, Dieu la sortira des ténèbres de cette maladie, afin qu’elle puisse reprendre de plus belle sa marche en avant.
Enquete
Mais, en 2019, sa carrière a basculé.
“Actuellement, je ne peux plus pratiquer l’athlétisme ni participer à des compétitions régionales et nationales. Je souffre de maux de tête persistants. Ce qui m’empêche de pratiquer mon sport favori’’, confie-t-elle. La championne regrette de n’avoir jamais eu “de soutien de la part de l’Etat ou des autorités locales’’.
C’est pourquoi, elle lance un appel à toute personne de bonne volonté qui pourra l’aider financièrement, afin qu’elle puisse se faire soigner. “Je suis issue d’une famille pauvre. Si j’ai quelqu’un qui peut m’aider à me soigner de ces maux de tête, cela me permettra de poursuivre ma carrière et continuer à faire la fierté du Fouladou, en particulier et du Sénégal, en général.’
Pourtant, 4 années durant, Fatoumata Kandé a battu des records au niveau national sur 5 000 mètres. Ce qui lui a valu d'être championne nationale en athlétisme. Elle a récolté plusieurs médailles d’or et d’argent.
“En 2016, j’ai été championne du Sénégal sur 1 000 mètres au stade Léopold Sédar Senghor. En 2017, j’ai été vice-championne du Sénégal. Et en 2018, j’ai beaucoup travaillé pour devenir championne du Sénégal sur 5 000 mètres. Mais en 2019, c’est là que les maux de tête ont commencé. Ce qui explique ma 2e place sur 5000 mètres. Depuis lors, les maux de tête ne m’ont plus permis de pratiquer mon sport.’’
La native de Boussoura, localité située dans la commune de Tankanto Escale, région de Kolda, est terrassée par les maux de tête qui ont freiné ses activités sportives. Faute de moyens financiers, Fatoumata Kandé a abandonné l’athlétisme la mort dans l’âme, dit-elle
Alors qu’elle était au CEM II de Kolda, Fatoumata Kandé a abandonné ses études en classe de 4e au profit de l’athlétisme. Car, elle rêvait de devenir une championne mondiale. Mais le destin en a décidé autrement. Elle ne se décourage pas. Elle estime qu’un jour, Dieu la sortira des ténèbres de cette maladie, afin qu’elle puisse reprendre de plus belle sa marche en avant.
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