Depuis quelques semaines, le gouvernement de Macky Sall nous prévient de l’arrivée d’une nouvelle souche du virus de la fièvre hémorragique dite « Crimée-Congo ». Selon la Division de surveillance épidémiologique du ministère de la Santé, le Sénégal a enregistré, mardi dernier, son premier cas de décès lié à la fièvre hémorragique Crimée-Congo.
Comme ce fut le cas avec le Covid 19, mentionne-t-on dans LeTémoin, le gouvernement promet de prendre des mesures de riposte pour arrêter la propagation de cette hémorragique. Pendant ce temps, une autre fièvre « hémorragique » se répand comme une traînée de poudre au Sénégal.
Il s’agit de la hausse exagérée des prix de denrées alimentaires. Une véritable « Crimée-Sénégal » pire que la Crimée-Congo. Et l’impuissance des contrôleurs économiques face aux agissements des commerçants spéculateurs a fini par créer un mécontentement social général puisque les consommateurs se sentent abandonnés ou livrés à eux-mêmes ! Comme pour dire, la lutte contre la « Crimée-Sénégal » est plus une priorité que celle contre « Crimée-Congo ». Car il faut avoir d’abord de quoi manger pour ne pas tomber malade, sinon aucun médecin ne pourra vous soigner…
Comme ce fut le cas avec le Covid 19, mentionne-t-on dans LeTémoin, le gouvernement promet de prendre des mesures de riposte pour arrêter la propagation de cette hémorragique. Pendant ce temps, une autre fièvre « hémorragique » se répand comme une traînée de poudre au Sénégal.
Il s’agit de la hausse exagérée des prix de denrées alimentaires. Une véritable « Crimée-Sénégal » pire que la Crimée-Congo. Et l’impuissance des contrôleurs économiques face aux agissements des commerçants spéculateurs a fini par créer un mécontentement social général puisque les consommateurs se sentent abandonnés ou livrés à eux-mêmes ! Comme pour dire, la lutte contre la « Crimée-Sénégal » est plus une priorité que celle contre « Crimée-Congo ». Car il faut avoir d’abord de quoi manger pour ne pas tomber malade, sinon aucun médecin ne pourra vous soigner…