Quatorze présumés malfaiteurs de nationalité nigériane ont passé hier leur première nuit à la Maison d’Arrêt de Rebeuss. Ils ont été placés sous mandat de dépôt par le doyen des juges pour les délits d’association de malfaiteurs, de faux et d’usage de faux, d’escroquerie, de collecte de données à caractère personnel et blanchiment d’argent .
Les faits se sont déroulés à la cité Gadaye. Une source anonyme a informé la Division Spéciale de cyber sécurité de la présence suspecte d’un groupe de cybercriminels dans un appartement loué dans un immeuble sis à la cité Gadaye (Guédiawaye). A la suite d’une surveillance et de plusieurs recoupements, les enquêteurs se sont présentés à l’appartement en cause. Sur place, les éléments de la division spéciale ont constaté la présence de 14 individus de nationalité nigériane.
Toutefois, le nombre de câbles en suspens laisse penser que des ordinateurs ont été débranchés à la hâte. C’est ainsi que la perquisition de l’appartement a permis aux enquêteurs de saisir des ordinateurs portables, des clés USB, des téléphones et des cartes bancaires.
Conduits au commissariat, les mis en cause ont été cuisinés. Entendus, les mis en cause ont nié les faits devant le juge d’instruction. Dans leurs ordinateurs, les limiers ont retrouvé des applications malveillantes de nature à maquiller une activité criminelle. Les mis en cause sont sur le net dans le but d’escroquer de braves gens. Puisqu’ils créent de faux profils pour faire chanter d’honnêtes citoyens.
Avec « L’As »
Les faits se sont déroulés à la cité Gadaye. Une source anonyme a informé la Division Spéciale de cyber sécurité de la présence suspecte d’un groupe de cybercriminels dans un appartement loué dans un immeuble sis à la cité Gadaye (Guédiawaye). A la suite d’une surveillance et de plusieurs recoupements, les enquêteurs se sont présentés à l’appartement en cause. Sur place, les éléments de la division spéciale ont constaté la présence de 14 individus de nationalité nigériane.
Toutefois, le nombre de câbles en suspens laisse penser que des ordinateurs ont été débranchés à la hâte. C’est ainsi que la perquisition de l’appartement a permis aux enquêteurs de saisir des ordinateurs portables, des clés USB, des téléphones et des cartes bancaires.
Conduits au commissariat, les mis en cause ont été cuisinés. Entendus, les mis en cause ont nié les faits devant le juge d’instruction. Dans leurs ordinateurs, les limiers ont retrouvé des applications malveillantes de nature à maquiller une activité criminelle. Les mis en cause sont sur le net dans le but d’escroquer de braves gens. Puisqu’ils créent de faux profils pour faire chanter d’honnêtes citoyens.
Avec « L’As »