Tout le monde le sait, la presse est au-devant de la scène. Et, très souvent, nous échouons un certains nombre de critiques, des critiques objectives comme des subjectives. Mais il revient aux médias de se regrouper, de ne pas véritablement faire la fine bouche, de se retrouver, d'échouer tout simplement les récriminations des uns et des autres, d’être honnête avec eux-mêmes, de pouvoir voir ce qui est vrai dans tout ce que les gens disent et ce qui est faux.
Ce qui est faux, les gens ne vont pas en tenir compte ; mais ce qui est vrai, nous devrons au moins accepter la réalité et essayer de trouver des stratégies pour améliorer le fonctionnement de la presse parce qu’aujourd’hui, la presse est indexé de toute part. Il y a des critiques de toute part, des critiques qui sont fondées, par moment, et des critiques qui ne sont pas fondés. Mais quand-même, nous devons nous appesantir sur les critiques qui sont fondées et essayer tout simplement de trouver des stratégies
«beaucoup de précarité dans la presse, due principalement aux patrons (de presse) qui ne font pas ce qu’ils ont a faire»
Donc, globalement, moi je trouve que c’est une bonne initiative parce on dit que le journaliste ne reconnaît que la juridiction de ses pairs. Donc si ce sont les journalistes eux-mêmes qui indexent un certain nombre de problèmes que rencontre la presse, si ce sont les journalistes eux-mêmes qui parlent de leurs problèmes, si ce sont les journalistes eux-mêmes qui parlent d’un certain nombre de pratiques faites par d’autres confrères, je pense que ces confrères là devraient pouvoir les écouter.
Je pense qu’au-delà des récriminations des uns des autres, le plus important dans ces assisses-là, c’est de trouver des stratégies, de trouver des esquisses de solutions, de mettre en place un plan d’actions tendant à améliorer les conditions de vie et les conditions de travail des journalistes parce qu’il y a beaucoup de précarité dans la presse. Cette précarité est due principalement aux patrons de presse qui ne font pas ce qu’ils ont à faire. Donc je pense qu’avec cette initiative du SYNPICS, les jeunes reporter et les anciens auront la possibilité de se regarder, de discuter ensemble, de mettre le doigt sur les problèmes réels de la presse.
Et, à partir de ce moment-là, le SYNPICS, en fonction des propositions qui seront faites, pourra faire son plaidoyer pour légiférer s’il le faut, changer les textes s’il le faut, pour amener les entreprises de presse à prendre en charge d’avance les petits préoccupations des journalistes. Mais faire en sorte que les journalistes euxmêmes puissent également respecter d’avance l’éthique et la déontologie qui sont les moteurs de notre profession. Donc, grosso modo, c’est quelque chose qu’il faut saluer et, honnêtement, c’est quelque chose qui vient à son heure, au moment où on échoue des critiques de part et d’autre.
«attentes : faire un diagnostic sans complaisance de la presse»
Maintenant, par rapport aux attentes, effectivement, je pense que quand on aura listé les différents problèmes, quand on va lister les différentes récriminations, il faut impérativement qu’on essaie de trouver des solutions par rapport aux récriminations qui seront soulevés. Donc, mes attentes, c’est de faire un diagnostic sans complaisance de la presse, de dire de manière exhaustive les problèmes auxquels la presse est confrontée. Et, après cela, quand on fait un bon diagnostic, on va tout simplement chercher des remèdes. Donc, c’est de lister les préoccupations, lister les problèmes mais également essayer de trouver des solutions par rapport à tous ces problèmes-là.»
Sud Quotidien
Ce qui est faux, les gens ne vont pas en tenir compte ; mais ce qui est vrai, nous devrons au moins accepter la réalité et essayer de trouver des stratégies pour améliorer le fonctionnement de la presse parce qu’aujourd’hui, la presse est indexé de toute part. Il y a des critiques de toute part, des critiques qui sont fondées, par moment, et des critiques qui ne sont pas fondés. Mais quand-même, nous devons nous appesantir sur les critiques qui sont fondées et essayer tout simplement de trouver des stratégies
«beaucoup de précarité dans la presse, due principalement aux patrons (de presse) qui ne font pas ce qu’ils ont a faire»
Donc, globalement, moi je trouve que c’est une bonne initiative parce on dit que le journaliste ne reconnaît que la juridiction de ses pairs. Donc si ce sont les journalistes eux-mêmes qui indexent un certain nombre de problèmes que rencontre la presse, si ce sont les journalistes eux-mêmes qui parlent de leurs problèmes, si ce sont les journalistes eux-mêmes qui parlent d’un certain nombre de pratiques faites par d’autres confrères, je pense que ces confrères là devraient pouvoir les écouter.
Je pense qu’au-delà des récriminations des uns des autres, le plus important dans ces assisses-là, c’est de trouver des stratégies, de trouver des esquisses de solutions, de mettre en place un plan d’actions tendant à améliorer les conditions de vie et les conditions de travail des journalistes parce qu’il y a beaucoup de précarité dans la presse. Cette précarité est due principalement aux patrons de presse qui ne font pas ce qu’ils ont à faire. Donc je pense qu’avec cette initiative du SYNPICS, les jeunes reporter et les anciens auront la possibilité de se regarder, de discuter ensemble, de mettre le doigt sur les problèmes réels de la presse.
Et, à partir de ce moment-là, le SYNPICS, en fonction des propositions qui seront faites, pourra faire son plaidoyer pour légiférer s’il le faut, changer les textes s’il le faut, pour amener les entreprises de presse à prendre en charge d’avance les petits préoccupations des journalistes. Mais faire en sorte que les journalistes euxmêmes puissent également respecter d’avance l’éthique et la déontologie qui sont les moteurs de notre profession. Donc, grosso modo, c’est quelque chose qu’il faut saluer et, honnêtement, c’est quelque chose qui vient à son heure, au moment où on échoue des critiques de part et d’autre.
«attentes : faire un diagnostic sans complaisance de la presse»
Maintenant, par rapport aux attentes, effectivement, je pense que quand on aura listé les différents problèmes, quand on va lister les différentes récriminations, il faut impérativement qu’on essaie de trouver des solutions par rapport aux récriminations qui seront soulevés. Donc, mes attentes, c’est de faire un diagnostic sans complaisance de la presse, de dire de manière exhaustive les problèmes auxquels la presse est confrontée. Et, après cela, quand on fait un bon diagnostic, on va tout simplement chercher des remèdes. Donc, c’est de lister les préoccupations, lister les problèmes mais également essayer de trouver des solutions par rapport à tous ces problèmes-là.»
Sud Quotidien