Les populations (104 095 habitants dont 38 % de jeunes âgés de 14 à 35 ans) des dix-neuf quartiers de la commune de Thiès Nord d’une superficie totale de 44,57 Km2, interpellent leur nouveau maire, Birame Souleye Diop, pour lui demander de « ne pas valider » la décharge de « Mbeubeuss Thiès ».
Laquelle, selon elles, représenterait une vraie bombe écologique que projetait d’implanter le maire déchu Lamine Diallo au quartier Médina Fall Extension. Elles attirent l’attention de leur nouvel édile sur « les conséquences désastreuses qu’entrainerait cette forfaiture au niveau des populations ».
Le Collectif «Aare Sunu Gox» de la Zone Nord exprime donc le vœu d’« éradiquer les dépôts d’ordures sur le site ciblé et de le remblayer, afin que l’emplacement soit propre et sans déchets ». Son coordinateur, El Hadj Khar Sène, qui conteste ce projet, demande au nouveau maire Birame Souleye Diop d’« abroger l’initiative de son prédécesseur, Lamine Diallo ».
Lequel, selon lui, « avait l’habitude de proférer des menaces saugrenues, refusant d’adhérer à toute forme de négociation, il proférait, au vu et au su de tout le monde, des invectives et des insultes, dans le seul but de réaliser des intérêts crypto personnels ». Pour cette raison, d’ailleurs, le coordinateur du collectif «Aare Sunu Gox» affirme avoir même eu à porter plainte devant le procureur de la République pour « menaces de mort » contre le maire sortant qui, « en public, devant plusieurs témoins, avait déclaré qu’il attenterait à ma vie ».
Un Hiroshima de type nouveau, qui aura pour victimes principales les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgée
Melèye Seck, président du mouvement « Alliance des Bâtisseurs », candidat malheureux aux élections territoriales du 23 janvier 2022 dernier à la mairie de Thies Nord, rappelle que « la décharge est au cœur des habitations. Le ballet journalier des charretiers qui y déposent, sans autorisation et sans conscience aucune des normes en matière de tri, des ordures de toutes sortes dans un lopin de terre entouré par des habitations et parcelles en construction, est un spectacle plus que désolant.
Chaque année, cette décharge sauvage gagne du terrain vu la quantité d’ordures ménagères ramassées auprès d’une population à démographie galopante ». Toutes choses qui lui font dire qu’« il urge de songer à une délocalisation de la décharge et de la mettre hors d’état de nuire d’autant plus qu’elle jouxte le plus grand centre d’instruction islamique du quartier à savoir le dahra de Serigne Boubou qui regroupe 218 pensionnaires, outre le lycée de Médina Fall, le collège de Médina Fall et la Case des Tout- Petits ».
Selon lui, la délocalisation aiderait alors les populations à échapper aux nombreux périls qui les guettent ». En ce futur « Mbeubeuss », Melèye Seck dit voir « un Hiroshima de type nouveau, qui aura pour victimes principales nos enfants, nos femmes enceintes et nos personnes âgées, appartenant aux couches les plus vulnérables ». Bref, aux yeux du président de l’ « Alliance des bâtisseurs », « le projet de donner un caractère légal à cette décharge sauvage n’est pas le bienvenu ».
Une bombe à ciel ouvert
Pour sa part, Ndiaga Wade, candidat malheureux aux dernières locales à la mairie de Thiès-Nord, estime que « l’ancien maire Lamine Diallo, à travers l’implantation illégale de ce dépôt sauvage de déchets à Médina Fall Extension, dépose une ‘’ bombe à ciel ouvert ’’ et viole le code de l’environnement ».
Aussi de demander à Birame Souleye Diop de « ne pas valider ce projet dangereux et improductif pour l’environnement et pour les populations riveraines ». Il préconise plutôt « un aménagement de cet espace pour répondre au mieux aux besoins des populations environnantes de Médina Fall Extension ». Rapporte Vipeoples .
Laquelle, selon elles, représenterait une vraie bombe écologique que projetait d’implanter le maire déchu Lamine Diallo au quartier Médina Fall Extension. Elles attirent l’attention de leur nouvel édile sur « les conséquences désastreuses qu’entrainerait cette forfaiture au niveau des populations ».
Le Collectif «Aare Sunu Gox» de la Zone Nord exprime donc le vœu d’« éradiquer les dépôts d’ordures sur le site ciblé et de le remblayer, afin que l’emplacement soit propre et sans déchets ». Son coordinateur, El Hadj Khar Sène, qui conteste ce projet, demande au nouveau maire Birame Souleye Diop d’« abroger l’initiative de son prédécesseur, Lamine Diallo ».
Lequel, selon lui, « avait l’habitude de proférer des menaces saugrenues, refusant d’adhérer à toute forme de négociation, il proférait, au vu et au su de tout le monde, des invectives et des insultes, dans le seul but de réaliser des intérêts crypto personnels ». Pour cette raison, d’ailleurs, le coordinateur du collectif «Aare Sunu Gox» affirme avoir même eu à porter plainte devant le procureur de la République pour « menaces de mort » contre le maire sortant qui, « en public, devant plusieurs témoins, avait déclaré qu’il attenterait à ma vie ».
Un Hiroshima de type nouveau, qui aura pour victimes principales les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgée
Melèye Seck, président du mouvement « Alliance des Bâtisseurs », candidat malheureux aux élections territoriales du 23 janvier 2022 dernier à la mairie de Thies Nord, rappelle que « la décharge est au cœur des habitations. Le ballet journalier des charretiers qui y déposent, sans autorisation et sans conscience aucune des normes en matière de tri, des ordures de toutes sortes dans un lopin de terre entouré par des habitations et parcelles en construction, est un spectacle plus que désolant.
Chaque année, cette décharge sauvage gagne du terrain vu la quantité d’ordures ménagères ramassées auprès d’une population à démographie galopante ». Toutes choses qui lui font dire qu’« il urge de songer à une délocalisation de la décharge et de la mettre hors d’état de nuire d’autant plus qu’elle jouxte le plus grand centre d’instruction islamique du quartier à savoir le dahra de Serigne Boubou qui regroupe 218 pensionnaires, outre le lycée de Médina Fall, le collège de Médina Fall et la Case des Tout- Petits ».
Selon lui, la délocalisation aiderait alors les populations à échapper aux nombreux périls qui les guettent ». En ce futur « Mbeubeuss », Melèye Seck dit voir « un Hiroshima de type nouveau, qui aura pour victimes principales nos enfants, nos femmes enceintes et nos personnes âgées, appartenant aux couches les plus vulnérables ». Bref, aux yeux du président de l’ « Alliance des bâtisseurs », « le projet de donner un caractère légal à cette décharge sauvage n’est pas le bienvenu ».
Une bombe à ciel ouvert
Pour sa part, Ndiaga Wade, candidat malheureux aux dernières locales à la mairie de Thiès-Nord, estime que « l’ancien maire Lamine Diallo, à travers l’implantation illégale de ce dépôt sauvage de déchets à Médina Fall Extension, dépose une ‘’ bombe à ciel ouvert ’’ et viole le code de l’environnement ».
Aussi de demander à Birame Souleye Diop de « ne pas valider ce projet dangereux et improductif pour l’environnement et pour les populations riveraines ». Il préconise plutôt « un aménagement de cet espace pour répondre au mieux aux besoins des populations environnantes de Médina Fall Extension ». Rapporte Vipeoples .