Les experts ont dénoncé les actes d’incivisme ou de banditisme, opérés sur le réseau d’assainissement. Des personnes malintentionnées jettent souvent des sable ou des pneus à l'intérieur des ouvrages d'assainissement. Mais, ces experts considèrent qu’il y a quatre maillons essentiels à tout système d’assainissement. Il s’agit d’un accès (toilettes, boite), du transport (Réseau d’égout), le traitement, le rejet ou la valorisation. Ils ont précisé que l’Onas n’intervient pas dans les maisons. Mais, il est catégoriquement, interdit de mettre en place des fosses perdues sur des endroits dont la nappe est à moins de 4 m de profondeur.
Ainsi, il a été recommandé de faire les dépôts sur les réseaux de vidange. Puisque le traitement n’est pas évident avec les eaux toxiques. Et, ils déplorent l’existence récurrente de branchements clandestins, ce qui reste un délit.
Par ailleurs, il a été déploré l’installation des maraîchers dans les zones dont le traitement n’est pas encore terminé. Ces agriculteurs profitent de la présence de ces eaux non encore traitées, pour arroser leurs plants de légumes. Une pratique absolument interdite.
Et, pour l’assainissement autonome, les toilettes sont régulièrement à l’intérieur des ménages. Ce n’est pas l’Onas qui se charge de la vidange, mais des privés. La vidange déposée, selon le cas, dans les stations de vidange et il y a la valorisation pour l’agriculture et autres. Dans ce cadre, des normes sont à respecter. L’expert a décrié le dépotage sauvage plus récurrent dans les régions.
Sous ce registre, il a été évoqué l’assainissement semi-collectif, utilisé dans les zones dont les rues sont étroites. C’est peu répandu. Puisque, dit-on, c’est souvent une fosse commune qui est installée. D’après eux, l’analyse en matière d’assainissement doit reposer sur un cadre institutionnel, qui en régit les contours.
Ainsi, il a été recommandé de faire les dépôts sur les réseaux de vidange. Puisque le traitement n’est pas évident avec les eaux toxiques. Et, ils déplorent l’existence récurrente de branchements clandestins, ce qui reste un délit.
Par ailleurs, il a été déploré l’installation des maraîchers dans les zones dont le traitement n’est pas encore terminé. Ces agriculteurs profitent de la présence de ces eaux non encore traitées, pour arroser leurs plants de légumes. Une pratique absolument interdite.
Et, pour l’assainissement autonome, les toilettes sont régulièrement à l’intérieur des ménages. Ce n’est pas l’Onas qui se charge de la vidange, mais des privés. La vidange déposée, selon le cas, dans les stations de vidange et il y a la valorisation pour l’agriculture et autres. Dans ce cadre, des normes sont à respecter. L’expert a décrié le dépotage sauvage plus récurrent dans les régions.
Sous ce registre, il a été évoqué l’assainissement semi-collectif, utilisé dans les zones dont les rues sont étroites. C’est peu répandu. Puisque, dit-on, c’est souvent une fosse commune qui est installée. D’après eux, l’analyse en matière d’assainissement doit reposer sur un cadre institutionnel, qui en régit les contours.