Face aux menaces terroristes, les plus hautes autorités policières du pays, de concert avec l’Agence de régulation des Postes et des Télécommunications (Artp), ont décidé d’assainir le milieu de la téléphonie mobile. C’est ainsi que des opérations ont été effectuées la semaine dernière, un peu partout dans la capitale du Sénégal, par les limiers de la Sûreté urbaine de Dakar, du commissariat des Parcelles Assainies et du Commissariat central de Guédiawaye. Les opérations visaient à retirer du marché noir les puces non identifiées. A cet effet, les policiers ont arrêté 67 personnes avec 10 000 puces téléphoniques de Orange, Expresso et Kirène non encore identifiées.
Hier, tout ce beau monde, réparti en groupe de 19, 12, 7 et 29, a été jugé par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils ont tous comparu libres et sont rentrés chez eux à l’issue du procès, bien que déclarés coupables. Les vendeurs ont, en effet, été dispensés de peine. Les prévenus étaient poursuivis pour vente illégale de puces téléphoniques et non respect du droit portant sur l’identification des acheteurs et utilisateurs mobiles offert au public. Ils ont tous reconnu les faits qu’on leur reproche comme ce fut le cas, depuis l’enquête préliminaire. Les uns ont soutenu avoir été pris au dépourvu dans leurs magasins, les autres dans la rue car étant des vendeurs à la sauvette.
Le Parquet a jugé les faits constants et a demandé l’application de la loi. La défense a insisté sur la constance des prévenus qui n’ont jamais varié dans leurs déclarations, depuis le début de cette affaire. Selon l’avocat, cela témoigne de « leur bonne foi mais aussi de leur probité ». « Il s’agit de jeunes qui veulent gagner leur vie dignement, mais ils ne savaient pas que leur activité commerciale est prohibée par la loi », a souligné la robe noire. Sur sa lancée, il a suggéré à l’Artp d’offrir des gilets aux vendeurs qui sont reconnus pour éviter dans le futur de pareilles choses. Après avoir rendu sa décision, le juge a conseillé au prévenus d’éviter la vente des puces non-identifiées. D’autant plus que la vente illégale des cartes SIM sur la voie publique est interdite par la loi.
Hier, tout ce beau monde, réparti en groupe de 19, 12, 7 et 29, a été jugé par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils ont tous comparu libres et sont rentrés chez eux à l’issue du procès, bien que déclarés coupables. Les vendeurs ont, en effet, été dispensés de peine. Les prévenus étaient poursuivis pour vente illégale de puces téléphoniques et non respect du droit portant sur l’identification des acheteurs et utilisateurs mobiles offert au public. Ils ont tous reconnu les faits qu’on leur reproche comme ce fut le cas, depuis l’enquête préliminaire. Les uns ont soutenu avoir été pris au dépourvu dans leurs magasins, les autres dans la rue car étant des vendeurs à la sauvette.
Le Parquet a jugé les faits constants et a demandé l’application de la loi. La défense a insisté sur la constance des prévenus qui n’ont jamais varié dans leurs déclarations, depuis le début de cette affaire. Selon l’avocat, cela témoigne de « leur bonne foi mais aussi de leur probité ». « Il s’agit de jeunes qui veulent gagner leur vie dignement, mais ils ne savaient pas que leur activité commerciale est prohibée par la loi », a souligné la robe noire. Sur sa lancée, il a suggéré à l’Artp d’offrir des gilets aux vendeurs qui sont reconnus pour éviter dans le futur de pareilles choses. Après avoir rendu sa décision, le juge a conseillé au prévenus d’éviter la vente des puces non-identifiées. D’autant plus que la vente illégale des cartes SIM sur la voie publique est interdite par la loi.