La nébuleuse terroriste qui s’est signalée près de nos frontières et ailleurs par des attaques inattendues, a entraîné l’arrestation de plusieurs Sénégalais pour apologie du terrorisme, connexion vraie ou supposée avec des milieux terroristes ou qui ont été trouvés avec des indices de nature à justifier leurs interpellations.
Décriées par certains, ces arrestations sont perçues par d’autres comme une action préventive pour barrer la route aux terroristes. Si aucun acte terroriste n’a été noté sur le territoire sénégalais, une vingtaine de suspects ont été interpellés par les forces de défense et de sécurité.
Dans le lot, se trouve Ibrahima Ly arrêté à Mbour grâce à un signalement des services secrets français qui l’ont filé depuis l’étranger. Il n’est pas le seul à tomber dans les filets. Les limiers mettront la main sur Saër Kébé et Papa Alassane Sène, tous accusés de connexion avec la nébuleuse terroriste.
Mais les arrestations les plus retentissantes ont été celles des imans Sèye de Kolda, Alioune Ndao de Kaolack et l’imam Sall de Rufisque. Coordonnateur régional de l’Association des Imams du Sénégal de Kaolack, les soupçons qui pèsent sur l’Imam Ndao l'ont conduit à être nuitamment arrêté par un détachement du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, qui avait pris toutes les précautions à cet effet. Il sera accusé de connexion avec Boko haram via Moctar Diokhané qui a été arrêté à son tour au Niger et remis au Sénégal.
Toujours dans la lutte contre le terrorisme, Ibrahima Hann sera arrêté à Kabatoki près de Kaolack, alors qu’il venait de terminer la prière de l’aube. Quant à Saliou Ndiaye, il sera coincé à la Sicap Liberté en tant que terroriste présumé. Sur le chemin de la lutte anti terroristes, deux femmes sont tombées à Guédiawaye. La Mauritanie a rapatrié 7 présumés terroristes sénégalais après que Leyti Niang est intercepté à Rosso. La liste est loin d’être exhaustive.
Une situation qui laisse penser que le Sénégal n’est pas à l’abri d’attaques malveillantes. En se basant sur la situation sécuritaire internationale, le Sénégal a, en tout cas, décidé de prendre le taureau par les cornes en mettant en place des mesures préventives et de protection de la population contre les actes terroristes.
De telles mesures sont prises en même temps, pour assurer l’efficacité de l’intervention en cas d’attaques. C’est ainsi qu’il a été créé un Cadre d’intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte anti-terroriste. Les motifs qui sous-tendent la création de ce Cadre salutaire, tiennent compte du contexte sécuritaire national et international qui prévaut avec la menace terroriste et son lot de victimes innocentes.
Le Cadre d’intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte antiterroriste est un dispositif de coordination et de veille stratégique dans la lutte contre le terrorisme. Il est présidé par le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique et compte en son sein, les représentants de tous les ministères impliqués dans la lutte contre le terrorisme.
Quant à ses organes de prise de décision, ils sont constitués d’un état-major et d’ une cellule de veille et de démembrements régionaux. La lutte contre le terrorisme doit aussi être une affaire des populations qui peuventse joindre aux forces de sécurité pour barrer la route aux bandits de grand boulevard qui sèment la terreur. Rapporte Vipeoples .
Décriées par certains, ces arrestations sont perçues par d’autres comme une action préventive pour barrer la route aux terroristes. Si aucun acte terroriste n’a été noté sur le territoire sénégalais, une vingtaine de suspects ont été interpellés par les forces de défense et de sécurité.
Dans le lot, se trouve Ibrahima Ly arrêté à Mbour grâce à un signalement des services secrets français qui l’ont filé depuis l’étranger. Il n’est pas le seul à tomber dans les filets. Les limiers mettront la main sur Saër Kébé et Papa Alassane Sène, tous accusés de connexion avec la nébuleuse terroriste.
Mais les arrestations les plus retentissantes ont été celles des imans Sèye de Kolda, Alioune Ndao de Kaolack et l’imam Sall de Rufisque. Coordonnateur régional de l’Association des Imams du Sénégal de Kaolack, les soupçons qui pèsent sur l’Imam Ndao l'ont conduit à être nuitamment arrêté par un détachement du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, qui avait pris toutes les précautions à cet effet. Il sera accusé de connexion avec Boko haram via Moctar Diokhané qui a été arrêté à son tour au Niger et remis au Sénégal.
Toujours dans la lutte contre le terrorisme, Ibrahima Hann sera arrêté à Kabatoki près de Kaolack, alors qu’il venait de terminer la prière de l’aube. Quant à Saliou Ndiaye, il sera coincé à la Sicap Liberté en tant que terroriste présumé. Sur le chemin de la lutte anti terroristes, deux femmes sont tombées à Guédiawaye. La Mauritanie a rapatrié 7 présumés terroristes sénégalais après que Leyti Niang est intercepté à Rosso. La liste est loin d’être exhaustive.
Une situation qui laisse penser que le Sénégal n’est pas à l’abri d’attaques malveillantes. En se basant sur la situation sécuritaire internationale, le Sénégal a, en tout cas, décidé de prendre le taureau par les cornes en mettant en place des mesures préventives et de protection de la population contre les actes terroristes.
De telles mesures sont prises en même temps, pour assurer l’efficacité de l’intervention en cas d’attaques. C’est ainsi qu’il a été créé un Cadre d’intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte anti-terroriste. Les motifs qui sous-tendent la création de ce Cadre salutaire, tiennent compte du contexte sécuritaire national et international qui prévaut avec la menace terroriste et son lot de victimes innocentes.
Le Cadre d’intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte antiterroriste est un dispositif de coordination et de veille stratégique dans la lutte contre le terrorisme. Il est présidé par le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique et compte en son sein, les représentants de tous les ministères impliqués dans la lutte contre le terrorisme.
Quant à ses organes de prise de décision, ils sont constitués d’un état-major et d’ une cellule de veille et de démembrements régionaux. La lutte contre le terrorisme doit aussi être une affaire des populations qui peuventse joindre aux forces de sécurité pour barrer la route aux bandits de grand boulevard qui sèment la terreur. Rapporte Vipeoples .