Le chauffeur de taxi clando, qui violait et mutilait ses passagères, n’est pas encore sorti de l’ornière. Selon le journal, Abdou Aziz Diakhaté, puisque c’est de lui qu’il s’agit, valse entre le Tribunal et le commissariat central à cause des retours de Parquet. Il devra faire face aux multiples plaintes déposées par ses victimes, qui sont pour le moment au nombre de 15, sans oublier les délits de vol ou agression qui risquent de compliquer sa situation. Mais, ce qui est sûr, c'est qu’il existe des femmes victimes qui refusent de se signaler à cause du tabou et des stéréotypes qui entourent ce sujet. En tout état de cause, vu la gravité des faits qui lui sont reprochés, son dossier est sur la voie de l’instruction et risque d’atterrir devant la Chambre criminelle.
Pour rappel, Abdou Aziz Diakhaté a été arrêté après une longue chasse à l’homme des limiers du commissariat central de Guédiawaye qui l’ont mis hors d’état de nuire. Il écumait la zone comprise entre le Technopôle et le site de l’arène nationale. Il transportait des femmes « d’un certain standing » qu’il détectait grâce à leur apparence chic. Au lieu de les déposer à la destination proposée, il faisait des détours en ville, ensuite les conduisait au Technopôle ou dans des zones réputées criminogènes avant de les dépouiller et les violer sous la menace d’une arme blanche.
Pour rappel, Abdou Aziz Diakhaté a été arrêté après une longue chasse à l’homme des limiers du commissariat central de Guédiawaye qui l’ont mis hors d’état de nuire. Il écumait la zone comprise entre le Technopôle et le site de l’arène nationale. Il transportait des femmes « d’un certain standing » qu’il détectait grâce à leur apparence chic. Au lieu de les déposer à la destination proposée, il faisait des détours en ville, ensuite les conduisait au Technopôle ou dans des zones réputées criminogènes avant de les dépouiller et les violer sous la menace d’une arme blanche.