Le journal ajoute que “dans cette affaire, des manoeuvres machiavéliques ont commencé pour noyer complètement le fils de Cheikh Amar à qui certaines personnes en veulent” et que “trois demandes d'explication” ont été servies “en l'espace de 72 heures”.
“Direct Info” renseigne que malgré tout, quel que soit le niveau d'influence, le commandant de la Brigade de gendarmerie de Ouakam a refusé de se plier et n'a changé une virgule de son Pv (procès-verbal). “Armé d'un courage digne d'un officier, il a assumé jusqu'au bout. C'est sur ces entrefaites que le Général (Haut commandant de la gendarmerie) a été saisi et a demandé immédiatement une vérification pour avoir le coeur net. Après cela, les autorités du pays, en l'occurrence le Président de la République et le Premier ministre, ont su ce qui s'est réellement passé (des coups de feu tirés sur le véhicule d'un enfant non armé ne constituant aucun danger)”, écrit le journal qui pense que “certainement une enquête sera ouverte pour situer les responsabilités car on ne tire pas n'importe où et n'importe comment”.
Le journal dit saluer “l'efficacité et l'intégrité du Général Guèye Faye qui a montré combien il mérite la confiance placée en lui par le Chef de l'Etat” et pense que “les tireurs des rafales sur le véhicule de Cheikh Amar que conduisait son fils seront traduits devant les juridictions compétentes”.
Le Directeur de la Communication de Cheikh Amar, Pape Diogoye Faye, par ailleurs Directeur général de “Direct Info” soutient que le fils de Cheikh Amar “a été relaxé purement et simplement et il vaque tranquillement à ses occupations”, ajoutant que “avec tout ce que Cheikh Amar a fait pour ce pays, on ne pensait pas qu'il pouvait y avoir autant d'acharnement et de haine à son égard”.
Seneweb a appris que Serigne Saliou Amar, le fils de Cheikh Amar, a effectivement été relâché par la gendarmerie sur instruction du Procureur de la République. Mais il devra être présenté ce lundi au “maitre des poursuites” qui décidera de son sort. Ce n'est que lorsque Serigne Bassirou Guèye classera le dossier sans suite qu'on pourra dire que cette affaire est enterrée.
“Direct Info” renseigne que malgré tout, quel que soit le niveau d'influence, le commandant de la Brigade de gendarmerie de Ouakam a refusé de se plier et n'a changé une virgule de son Pv (procès-verbal). “Armé d'un courage digne d'un officier, il a assumé jusqu'au bout. C'est sur ces entrefaites que le Général (Haut commandant de la gendarmerie) a été saisi et a demandé immédiatement une vérification pour avoir le coeur net. Après cela, les autorités du pays, en l'occurrence le Président de la République et le Premier ministre, ont su ce qui s'est réellement passé (des coups de feu tirés sur le véhicule d'un enfant non armé ne constituant aucun danger)”, écrit le journal qui pense que “certainement une enquête sera ouverte pour situer les responsabilités car on ne tire pas n'importe où et n'importe comment”.
Le journal dit saluer “l'efficacité et l'intégrité du Général Guèye Faye qui a montré combien il mérite la confiance placée en lui par le Chef de l'Etat” et pense que “les tireurs des rafales sur le véhicule de Cheikh Amar que conduisait son fils seront traduits devant les juridictions compétentes”.
Le Directeur de la Communication de Cheikh Amar, Pape Diogoye Faye, par ailleurs Directeur général de “Direct Info” soutient que le fils de Cheikh Amar “a été relaxé purement et simplement et il vaque tranquillement à ses occupations”, ajoutant que “avec tout ce que Cheikh Amar a fait pour ce pays, on ne pensait pas qu'il pouvait y avoir autant d'acharnement et de haine à son égard”.
Seneweb a appris que Serigne Saliou Amar, le fils de Cheikh Amar, a effectivement été relâché par la gendarmerie sur instruction du Procureur de la République. Mais il devra être présenté ce lundi au “maitre des poursuites” qui décidera de son sort. Ce n'est que lorsque Serigne Bassirou Guèye classera le dossier sans suite qu'on pourra dire que cette affaire est enterrée.