L’enquête se poursuit suite à l’arrestation du « faux Kocc » qui a abusé d’une centaine de femmes. Le présumé « prédateur sexuel » du nom de Serigne D. Niass, la quarantaine bien sonnée, est marié à deux épouses. Il traquait ses victimes présumées via le réseau social Facebook. Il les demandait de jouer un film pornographique pour un autre homme, sauf que c’était toujours lui.
Traqué durant presque une année, Niass a été finalement arrêté à Kébémer, le 3 septembre 2020, rapporte L'Observateur. Un lourd paquet d’accusations est porté contre lui, « Imposteur, narcissique, manipulateur, pervers ». L’homme "au visage innocent" est poursuivi pour collecte d’images à caractère pornographiques, chantage sexuel et extorsion de fonds.
Son modus operandi, il envoyait une demande d’amitié à ses présumées victimes avec un faux profil. Simone Sandaré était son pseudo avec une photo d’une Européenne sur son profil.
Le mis en cause ne se limitait pas qu’au Sénégal. En plus des filles de Kolda, Louga, Rufisque Thiès…, il s’en est pris à des Guinéennes, Maliennes, Ivoiriennes, ect.
L’exploitation de ses deux téléphones portables a permis aux enquêteurs de dénombrer une centaine de victimes. Pour le moment seule une dizaine de victimes a décidé d’aller au bout de la procédure contre le présumé prédateur sexuel.
Traqué durant presque une année, Niass a été finalement arrêté à Kébémer, le 3 septembre 2020, rapporte L'Observateur. Un lourd paquet d’accusations est porté contre lui, « Imposteur, narcissique, manipulateur, pervers ». L’homme "au visage innocent" est poursuivi pour collecte d’images à caractère pornographiques, chantage sexuel et extorsion de fonds.
Son modus operandi, il envoyait une demande d’amitié à ses présumées victimes avec un faux profil. Simone Sandaré était son pseudo avec une photo d’une Européenne sur son profil.
Le mis en cause ne se limitait pas qu’au Sénégal. En plus des filles de Kolda, Louga, Rufisque Thiès…, il s’en est pris à des Guinéennes, Maliennes, Ivoiriennes, ect.
L’exploitation de ses deux téléphones portables a permis aux enquêteurs de dénombrer une centaine de victimes. Pour le moment seule une dizaine de victimes a décidé d’aller au bout de la procédure contre le présumé prédateur sexuel.