C'est dans ce contexte que le Haut Commandant de la Gendarmerie a mis en place un système de surveillance dans lequel la section de recherches participe activement, en déployant à travers le territoire le Groupe d’observation et de surveillance ses agents qui sont anonymes.
C’est dans ces circonstances que le gendarme Sy, informé de la volonté d’un ressortissant mauritanien de se procurer des armes, a rendu compte à sa hiérarchie qui lui a facilité la tâche en mettant à sa disposition des armes pour lui permettre de rencontrer l’acheteur aux fins de son arrestation.
Qu’est ce qui s’est passé ?
Selon les procès verbaux, le 15 janvier 2015, le gendarme Sy a été contacté par son ami et mécanicien Mouhamed Diallo qui lui demande de lui trouver des armes pour un mauritanien de passage à Dakar. Aussitôt Sy s’en réfère à ses chefs compte tenu de la gravité des faits. Il est mis à sa disposition 05 armes de poing pour lui permettre de rencontrer l’acheteur. Mohamed est arrivé à Dakar il y a trois jours.
Arrivé à Dakar il y a trois jours, et après avoir fait un tour à Touba pour vendre son véhicule, il prend contact avec Assane N’diaye dit Assane Fall, un sénégalais d’origine mauritanienne pour qu’il l’aide à acheter des armes qu’il compte amener dans son pays. Assane N’diaye s’en ouvre alors à son beau-fils, mécanicien, qui en parle au gendarme Sy.
Après des rendez-vous multiples, les parties se rencontrent aux Almadies dans le véhicule de l’acheteur Mouhamed El Bar Abd Emou, le 16 janvier 2015 dans la matinée.
C’est au moment de finaliser la vente que la Section de recherches a procédé à l’interpellation des mis en cause.
Mis en garde à vue pour infraction à la législation sur l’achat des armes de poing, les mis en cause ont tous nié les faits. Des faits qui sont prévus et réprimés par la loi 66-03.
Quant à l’acheteur mauritanien, il a argué être président d’un club de tir en Mauritanie et qu’il était à Dakar pour acheter des armes neuves pour son association de tir.
Assane Ndiaye dit Fall, Mouhamed Diallo et Cheikhna Mohamed El Bar Abd Emou seront présentés au procureur de la République pour qu’il les fixe sur leur sort.
C’est dans ces circonstances que le gendarme Sy, informé de la volonté d’un ressortissant mauritanien de se procurer des armes, a rendu compte à sa hiérarchie qui lui a facilité la tâche en mettant à sa disposition des armes pour lui permettre de rencontrer l’acheteur aux fins de son arrestation.
Qu’est ce qui s’est passé ?
Selon les procès verbaux, le 15 janvier 2015, le gendarme Sy a été contacté par son ami et mécanicien Mouhamed Diallo qui lui demande de lui trouver des armes pour un mauritanien de passage à Dakar. Aussitôt Sy s’en réfère à ses chefs compte tenu de la gravité des faits. Il est mis à sa disposition 05 armes de poing pour lui permettre de rencontrer l’acheteur. Mohamed est arrivé à Dakar il y a trois jours.
Arrivé à Dakar il y a trois jours, et après avoir fait un tour à Touba pour vendre son véhicule, il prend contact avec Assane N’diaye dit Assane Fall, un sénégalais d’origine mauritanienne pour qu’il l’aide à acheter des armes qu’il compte amener dans son pays. Assane N’diaye s’en ouvre alors à son beau-fils, mécanicien, qui en parle au gendarme Sy.
Après des rendez-vous multiples, les parties se rencontrent aux Almadies dans le véhicule de l’acheteur Mouhamed El Bar Abd Emou, le 16 janvier 2015 dans la matinée.
C’est au moment de finaliser la vente que la Section de recherches a procédé à l’interpellation des mis en cause.
Mis en garde à vue pour infraction à la législation sur l’achat des armes de poing, les mis en cause ont tous nié les faits. Des faits qui sont prévus et réprimés par la loi 66-03.
Quant à l’acheteur mauritanien, il a argué être président d’un club de tir en Mauritanie et qu’il était à Dakar pour acheter des armes neuves pour son association de tir.
Assane Ndiaye dit Fall, Mouhamed Diallo et Cheikhna Mohamed El Bar Abd Emou seront présentés au procureur de la République pour qu’il les fixe sur leur sort.