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Arnaque, chantage et corruption: Deux autres patrons de la presse en ligne sur le viseur du Procureur de République


Rédigé le Mercredi 27 Décembre 2017 à 14:23 | Lu 109 fois | 0 commentaire(s)



La justice est sur le point de prendre les dérives de certains journalistes ou patrons de presse en ligne. L’avenir en dira long. Puisque, deux autres patrons de sites en ligne sont sur le viseur du Procureur de la République. Opérant de la même manière que Cheikh Gadiaga, ces deux patrons de sites en ligne, sont de véritables « As » de l’arnaque, du chantage et du « griotisme » journalistique. Ces « charognards », vivant sur le dos d’honnêtes citoyens, risquent de retrouver l’environnement carcéral, bien connu d’eux.


Arnaque, chantage et corruption: Deux autres patrons de la presse en ligne sur le viseur du Procureur de République
La mafia de la presse en ligne, de véritables « As » de l’arnaque, du chantage et de la diffamation est sous menace. Dans les jours à venir deux autres patrons de sites d’informations en ligne vont tomber comme Cheikh Gadiaga. Lesdits patrons de sites en ligne, visés par la traque du Procureur, sont caractérisés par un manque de vergogne notoire. Se cachant derrière un support en ligne, ils arborent le statut de journaliste pour semer la peur bleue à d’autres concitoyens. 

Le modus-operandis de ces derniers, consistent à exposer des problèmes de logements, des problèmes familiaux, des maladies de proches parents pour soutirer de l’argent à des hommes d’affaires. L’un d’eux, envoie en permanence des messages à ses cibles pour quémander ou faire chanter. 

Alors que le second patron de site, dont l’indice, menant vers lui, précise qu’il s’agit d’un faux Cheikh qui peut bien, en cacher un autre Cheikh. Celui-ci, promet à des politiques ou de simples citoyens, l’option de ne point écrire sur eux. Mais, la contrepartie serait la sponsorisation d’un des journalistes de sa rédaction. 

Le deal consiste tout simplement, à faire prendre en charge le salaire d’un de ses employés par un homme politique, un homme d’affaires et autres. Et, il a été découvert que le patron de Tse, Cheikh Amar aurait payé récemment, pour ce patron de presse en ligne, la location de son logement d’un montant de 3 600 000 FCfa. 

Mais, la constante pour ces deux journalistes, patrons de sites en ligne, est qu’ils ont tous les deux, des dossiers pendants au niveau des juridictions judiciaires du pays. Malheureusement, comme dit l’adage, « Chasser le naturel, il revient toujours au galop ». Difficile pour ces derniers, de se départir de leurs habitudes de « charognards » qui font d’eux, des habitués de gains faciles.  

A titre de rappel Leral avait écrit sur le phénomène pour alerter. Nul, lisait-on, ne peut nier aujourd’hui, que le monde de la presse en ligne est devenu la principale zone de prédilection d’acteurs aux pratiques peu orthodoxes. Constat, le spectre de la diffamation et du chantage plane sur la tête de tout honnête citoyen qui aura la malchance de se mettre sur le chemin de ces raquetteurs sans scrupule. 

Ainsi, il a été révélé que pour ces derniers, les règles d'éthique et de déontologie n’ont pas grande valeur. Le maitre-mot est argent. Pourvu seulement, que le donneur soit généreux pour obtenir ce qu’ils veulent. Et, ils développent une approche qui frise le ridicule pour soutirer de l’argent aux riches hommes d’affaires, aux politiciens et autres détenteurs de patrimoines matériels. 

Très rusés, ces pseudo-journalistes plus futés, n’hésitent pas à se servir d’infos sensibles et compromettantes pour faire chanter leurs cibles. Mieux encore, certains patrons de presse commanditent des articles compromettants, puis passent par leurs confrères qui vont négocier le prix du retrait des articles avec la victime. 


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