La famille du mannequin Maty Mbodj peine à faire le deuil de leur fille décédée il y a un an des suites d’une overdose selon la clameur populaire. L’acquittement des auteurs présumés de sa mort, n’est pas pour rassurer la famille qui dit s’en remettre à Dieu. Arame, sœur de Maty Mbodj se confie dans le journal L’observateur pour démentir encore une fois les «rumeurs» sur les circonstances de sa mort.
«J’aurais pu tout accepter, sauf qu’elle usant de substances illicites et c’est pareil chez tous les autres membres de la famille. Tous, autant que nous sommes, avons été dépassés par la tournure des évènements et pris de court par les racontars sur les circonstances de sa mort. Nous sommes membres d’une grande famille Baye Fall et avons été éduqués selon des principes et des valeurs», tient-elle à rappeler.
Maty, rectifie Arame Mbodj, «n’était pas une mauvaise personne et il ne faut pas que les gens retiennent d’elle, une droguée comme on l’a dépeinte».
Quid de la décision de justice rendue cette semaine dans cette affaire?
«Nous nous en remettons à la justice. Maty ne mérite pas ce sort. Elle a toujours veillé sur nous et sur notre bien-être. Soutien de famille, elle s’est démenée pour que nous ne manquions de rien. A son décès, on se demandait ce qu’on allait devenir».
«J’aurais pu tout accepter, sauf qu’elle usant de substances illicites et c’est pareil chez tous les autres membres de la famille. Tous, autant que nous sommes, avons été dépassés par la tournure des évènements et pris de court par les racontars sur les circonstances de sa mort. Nous sommes membres d’une grande famille Baye Fall et avons été éduqués selon des principes et des valeurs», tient-elle à rappeler.
Maty, rectifie Arame Mbodj, «n’était pas une mauvaise personne et il ne faut pas que les gens retiennent d’elle, une droguée comme on l’a dépeinte».
Quid de la décision de justice rendue cette semaine dans cette affaire?
«Nous nous en remettons à la justice. Maty ne mérite pas ce sort. Elle a toujours veillé sur nous et sur notre bien-être. Soutien de famille, elle s’est démenée pour que nous ne manquions de rien. A son décès, on se demandait ce qu’on allait devenir».