Selon Me Assane Dioma Ndiaye, au-delà de l’aspect humain (quelqu’un qui est malade doit une assistance) et du fait que l’Etat a une obligation de protection de ces citoyens, c’est la décision de la justice sénégalaise qui est remise en cause dans cette affaire.
« Au nom du principe international de la chose jugée de manière équitable dans un pays, aucun autre pays n’a le doit de faire rejuger la même affaire. Or, cette affaire opposant l’homme d’affaires Saoudien et Alkhaly Cissé a été jugée en tribunal de première instance et en rappel au Sénégal. C’est après tout cela que l’homme d’affaires saoudien va déposer une autre plainte pour juger encore Alkhaly Cissé», rappelle Me Assane Dioma Ndiaye.
«Sur cette base, le Sénégal doit taper sur la table pour obtenir la libération d’Alkhaly Cissé détenu en Arabie Saoudite, car c’est la crédibilité de la justice sénégalaise qui est en jeu», exige-t-il.
« Au nom du principe international de la chose jugée de manière équitable dans un pays, aucun autre pays n’a le doit de faire rejuger la même affaire. Or, cette affaire opposant l’homme d’affaires Saoudien et Alkhaly Cissé a été jugée en tribunal de première instance et en rappel au Sénégal. C’est après tout cela que l’homme d’affaires saoudien va déposer une autre plainte pour juger encore Alkhaly Cissé», rappelle Me Assane Dioma Ndiaye.
«Sur cette base, le Sénégal doit taper sur la table pour obtenir la libération d’Alkhaly Cissé détenu en Arabie Saoudite, car c’est la crédibilité de la justice sénégalaise qui est en jeu», exige-t-il.