Propriétaire de la maison où se sont déroulés les faits, le nommé Serigne Barro a porté plainte contre son locataire, Mouhamed Bal, pour détention et usage d’arme à feu. D’après le plaignant, le mis en cause, qui avait un problème avec un autre colocataire, avait brandi une arme à feu avant de tirer un coup en l’air.
« Etant le propriétaire de la villa, j’ai loué deux chambres aux sieurs Mohamed Bal et Mohamed Lamine Dédhiou qui occupent chacun une chambre et qui partagent la même cour. Depuis un certain temps, j’ai constaté qu’ils avaient des problèmes et ne parvenaient plus à s’entendre. Un jour, ils ont eu une altercation et le mis en cause, Mohamed Bal, a brandi un pistolet avant de tirer en l’air, ameutant ainsi tous les habitants du quartier. Un riverain s’était même mis à crier pensant qu’il y avait déjà un mort dans la maison », a raconté le propriétaire de la maison.
Voulant la paix dans son domicile, il a réitéré sa volonté de résilier le contrat des deux locataires pour n’avoir pas à répondre d’un crime. La victime a insisté sur son différend avec le mis en cause qui serait dû au comportement de ce dernier qui se considère comme le maitre des lieux.
« Il fait tout ce que bon lui semble et ne veut que personne ne parle. Il cherche toujours à m’intimider et me provoque sans cesse. Son véritable problème avec les habitants de la maison, c’est qu’il fume devant tout le monde et cela dérange les gens », s’est expliquée la victime.
Face aux limiers, le mis en cause reconnait les faits qui lui sont reprochés. D’après lui, il a brandi une arme en le pointant sur son colocataire. Mais se dédouane-t-il, il s’agissait d’une arme factice. Et c’était pour lui faire peur.
« Il m’a trouvé en train de fumer de la cigarette devant la maison, il m’a attaqué avant d’arracher la cigarette en l’écrasant par terre. On s’est bagarré et il m’a frappé à la tête m’occasionnant une blessure », a-t-il souligné.
Sur la détention d’arme, il avoue ne pas détenir une autorisation, mais a la facture et le bon de livraison de cette arme. Après avoir passé aux aveux, le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet en attendant d’être fixé sur son sort.
Le Témoin
« Etant le propriétaire de la villa, j’ai loué deux chambres aux sieurs Mohamed Bal et Mohamed Lamine Dédhiou qui occupent chacun une chambre et qui partagent la même cour. Depuis un certain temps, j’ai constaté qu’ils avaient des problèmes et ne parvenaient plus à s’entendre. Un jour, ils ont eu une altercation et le mis en cause, Mohamed Bal, a brandi un pistolet avant de tirer en l’air, ameutant ainsi tous les habitants du quartier. Un riverain s’était même mis à crier pensant qu’il y avait déjà un mort dans la maison », a raconté le propriétaire de la maison.
Voulant la paix dans son domicile, il a réitéré sa volonté de résilier le contrat des deux locataires pour n’avoir pas à répondre d’un crime. La victime a insisté sur son différend avec le mis en cause qui serait dû au comportement de ce dernier qui se considère comme le maitre des lieux.
« Il fait tout ce que bon lui semble et ne veut que personne ne parle. Il cherche toujours à m’intimider et me provoque sans cesse. Son véritable problème avec les habitants de la maison, c’est qu’il fume devant tout le monde et cela dérange les gens », s’est expliquée la victime.
Face aux limiers, le mis en cause reconnait les faits qui lui sont reprochés. D’après lui, il a brandi une arme en le pointant sur son colocataire. Mais se dédouane-t-il, il s’agissait d’une arme factice. Et c’était pour lui faire peur.
« Il m’a trouvé en train de fumer de la cigarette devant la maison, il m’a attaqué avant d’arracher la cigarette en l’écrasant par terre. On s’est bagarré et il m’a frappé à la tête m’occasionnant une blessure », a-t-il souligné.
Sur la détention d’arme, il avoue ne pas détenir une autorisation, mais a la facture et le bon de livraison de cette arme. Après avoir passé aux aveux, le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet en attendant d’être fixé sur son sort.
Le Témoin