Seulement le texte souligne qu’au moment où les cliniques privées se relèvent péniblement d’une crise qui a frappé tous les secteurs, «le ministère du commerce et des Pme, initie un contrôle approximatif en se basant sur des dispositions règlementaires et tarifs datant de 1983, (arrêté interministériel du 23 février 1983). Ainsi, la mission a lourdement sanctionné les premières cliniques contrôlées en avançant des arguments contestables».
De plus, informe le document, «un projet de loi relatif à l’accès et la dispensation des médicaments et aux autres produits de santé, très contraignant pour les cliniques et leurs patients serait à l’étude».
En commentant cette situation, les cliniques privées disent comprendre parfaitement qu’un secteur aussi sensible que le leur, soit régulé et surveillé, «mais nous estimons que ces initiatives du Ministère du commerce sont inopportunes» et vont à coup sûr déstabiliser le secteur privé de la santé déjà fort éprouvé. Les patients seraient les premières victimes de ces désordres et une réelle menace pèserait sur les emplois.
L’Acps a saisi le ministère de la santé et de l’action sociale par un courrier l’informant de cette situation inédite, mais elle n’a reçu aucune réponse jusque-là . C’est dans ces circonstances que «le mercredi 22 juin, une réunion a été tenue avec la Direction du Commerce Intérieur sans pouvoir trouver un terrain d’entente», informe le texte.
Face à cette situation qui pourrait impacter négativement sur le coût et la qualité des soins de santé au Sénégal et qui serait contreproductive par rapport aux objectifs de l’Etat de relever le plateau technique médical sénégalais, l’Acps marque son désaccord par rapport aux actions engagées par le ministère du commerce. L’Acps fera face à la presse pour revenir plus amplement sur la question.
Bes Bi
De plus, informe le document, «un projet de loi relatif à l’accès et la dispensation des médicaments et aux autres produits de santé, très contraignant pour les cliniques et leurs patients serait à l’étude».
En commentant cette situation, les cliniques privées disent comprendre parfaitement qu’un secteur aussi sensible que le leur, soit régulé et surveillé, «mais nous estimons que ces initiatives du Ministère du commerce sont inopportunes» et vont à coup sûr déstabiliser le secteur privé de la santé déjà fort éprouvé. Les patients seraient les premières victimes de ces désordres et une réelle menace pèserait sur les emplois.
L’Acps a saisi le ministère de la santé et de l’action sociale par un courrier l’informant de cette situation inédite, mais elle n’a reçu aucune réponse jusque-là . C’est dans ces circonstances que «le mercredi 22 juin, une réunion a été tenue avec la Direction du Commerce Intérieur sans pouvoir trouver un terrain d’entente», informe le texte.
Face à cette situation qui pourrait impacter négativement sur le coût et la qualité des soins de santé au Sénégal et qui serait contreproductive par rapport aux objectifs de l’Etat de relever le plateau technique médical sénégalais, l’Acps marque son désaccord par rapport aux actions engagées par le ministère du commerce. L’Acps fera face à la presse pour revenir plus amplement sur la question.
Bes Bi