«Nous tenons à faire cette déclaration en guise de continuation du plan d’action que le camarade Dione avait entamé depuis la décision du Président de la République de reconstruire l’hôpital. Ce combat a été mené par notre camarade Elhadji Abdoulaye Dione coordinateur de ce collectif qui séjourne en ce moment à la maison d’arrêt de rebeuss depuis 3 semaines. Si les autorités pensent qu’avec l’arrestation de notre camarade, elles peuvent freiner la lutte ; elle se trompent lourdement», lit-on dans leur déclaration liminaire.
Cheikh Seck et ses camarades soulignent que les conditions de la réhabilitation de l’hôpital le Dantec ont été catastrophiques voire dramatiques. «Une reconstruction aux allures nébuleuses, à la limite catastrophique du fait d’un marché de gré à gré de 92 milliards de francs CFA attribué à Cantum Ghesa par le Fonsis. En effet, Ce contrat ne respecte pas le code des marchés parce qu’il n’y avait pas un motif impérieux, ni urgence, ni risque de rupture de continuité du service public de santé. Il s’y ajoute un plan chaotique de manifeste de mauvaise prise en charge des malades et de redéploiement des travailleurs», déplorent ces blouses blanches. Selon le collectif, le redéploiement du personnel de l’hôpital est fait avec beaucoup d’amateurisme.
«Nombreux sont ces travailleurs qui ne sont toujours pas affectés. Et à l’état actuel, aucune convention officielle n’est établie afin de permettre aux travailleurs de connaitre ce qui les lie avec les structures où ils sont affectés», indiquent les syndicalistes. «Il faut noter aussi qu’il y a une tentative de liquidation des prestataires qui ont tout donné depuis des années pour la santé de la population et la bonne marche de l’hôpital lorsque les autorités ont eu besoin d’eux dans les moments difficiles.
Un cas qui nous tient à cœur est celui de l’ACP de l’HALD qui procède à des coupures de salaires sans pour autant les reverser aux structures habilitées. Que ce soit au niveau de la caisse de sécurité sociale, à l’IPRES, l’IPM, les assurances et les imputations. Nous lui demandons de rendre compte dans les meilleurs délais de cette situation financière», ajoute la note.
Cheikh Seck et ses camarades soulignent que les conditions de la réhabilitation de l’hôpital le Dantec ont été catastrophiques voire dramatiques. «Une reconstruction aux allures nébuleuses, à la limite catastrophique du fait d’un marché de gré à gré de 92 milliards de francs CFA attribué à Cantum Ghesa par le Fonsis. En effet, Ce contrat ne respecte pas le code des marchés parce qu’il n’y avait pas un motif impérieux, ni urgence, ni risque de rupture de continuité du service public de santé. Il s’y ajoute un plan chaotique de manifeste de mauvaise prise en charge des malades et de redéploiement des travailleurs», déplorent ces blouses blanches. Selon le collectif, le redéploiement du personnel de l’hôpital est fait avec beaucoup d’amateurisme.
«Nombreux sont ces travailleurs qui ne sont toujours pas affectés. Et à l’état actuel, aucune convention officielle n’est établie afin de permettre aux travailleurs de connaitre ce qui les lie avec les structures où ils sont affectés», indiquent les syndicalistes. «Il faut noter aussi qu’il y a une tentative de liquidation des prestataires qui ont tout donné depuis des années pour la santé de la population et la bonne marche de l’hôpital lorsque les autorités ont eu besoin d’eux dans les moments difficiles.
Un cas qui nous tient à cœur est celui de l’ACP de l’HALD qui procède à des coupures de salaires sans pour autant les reverser aux structures habilitées. Que ce soit au niveau de la caisse de sécurité sociale, à l’IPRES, l’IPM, les assurances et les imputations. Nous lui demandons de rendre compte dans les meilleurs délais de cette situation financière», ajoute la note.