Pour comprendre cette affaire, il faut remonter à plusieurs années. Le plaignant qui travaillait dans la boîte de nuit «Faro» avant d’intégrer le bar «La lumière bleue», dit avoir fait la connaissance de la nommée Aïcha, sans plus de précision. Il précise que cette dernière n’entretient aucune relation particulière avec lui, mais soutient qu’il a toujours aidé cette dernière financièrement, à chaque fois qu’elle le sollicitait.
Mais un jour, indique-t-il, cette dernière qui avait prétexté qu’il faisait nuit et qu’elle avait peur de rentrer seule, lui avait demandé de l’accompagner chez elle. En réalité, ce n’était pas sa vraie adresse, mais l’endroit où elle recevait ses clients. Et une fois sur place, raconte toujours le plaignant dans sa plainte, Aïcha lui avait proposé une partie de jambe en l’air, moyennant la somme de 5000 francs Cfa. Une offre qu’il dit avoir déclinée.
Ayant tout de suite pris un taxi pour rentrer chez lui, le sieur Ndiaye dit avoir été surpris de voir que la belle de nuit l’avait suivi en taxi jusqu’à son domicile, avant de rebrousser chemin. Certainement, c’était juste pour connaître son adresse et y revenir pour y commettre un vol. La preuve, quelques semaines plus tard, elle a attendu que le plaignant quitte sa chambre vers les coups de 6 heures du matin pour se rendre au travail pour venir dérober, en son absence, ses 280 000 francs Cfa, son ordinateur portable, et ses deux téléphones portables.
Finalement, c’est une petite enquête de proximité dans le voisinage qui lui a permis de comprendre que c’est la belle de nuit qui était l’auteur du vol. Mais, entre temps, cette dernière avait amené l’ordinateur portable chez sa tutrice qui le confisqua. Ce qui va coûter cher à cette dame, qui, finalement, a été mise aux arrêts pour recel de malfaiteurs.
Selon le plaignant, en plus de détenir son ordinateur portable, la dame S. Sylla s’était également farouchement interposée à l’arrestation de la mise en cause qui a pris la fuite depuis lors.
Devant les limiers, elle raconte que sa protégée étant une mythomane, elle n’avait pas cru à sa version, lorsqu’elle lui avait dit que c’est son fiancé qui lui avait offert l’ordinateur portable. Selon elle, c’est en toute bonne foi qu’elle a confisqué le bien du plaignant, le temps que quelqu’un le réclame.
Il en est de même pour l’autre prévenue F. Sarr, qui, pour une dette de 4000 francs Cfa que lui devait la belle de nuit, a confisqué l’un des portables volé du plaignant. Finalement, elles ont toutes les deux été déférées au parquet.
Le Populaire
Mais un jour, indique-t-il, cette dernière qui avait prétexté qu’il faisait nuit et qu’elle avait peur de rentrer seule, lui avait demandé de l’accompagner chez elle. En réalité, ce n’était pas sa vraie adresse, mais l’endroit où elle recevait ses clients. Et une fois sur place, raconte toujours le plaignant dans sa plainte, Aïcha lui avait proposé une partie de jambe en l’air, moyennant la somme de 5000 francs Cfa. Une offre qu’il dit avoir déclinée.
Ayant tout de suite pris un taxi pour rentrer chez lui, le sieur Ndiaye dit avoir été surpris de voir que la belle de nuit l’avait suivi en taxi jusqu’à son domicile, avant de rebrousser chemin. Certainement, c’était juste pour connaître son adresse et y revenir pour y commettre un vol. La preuve, quelques semaines plus tard, elle a attendu que le plaignant quitte sa chambre vers les coups de 6 heures du matin pour se rendre au travail pour venir dérober, en son absence, ses 280 000 francs Cfa, son ordinateur portable, et ses deux téléphones portables.
Finalement, c’est une petite enquête de proximité dans le voisinage qui lui a permis de comprendre que c’est la belle de nuit qui était l’auteur du vol. Mais, entre temps, cette dernière avait amené l’ordinateur portable chez sa tutrice qui le confisqua. Ce qui va coûter cher à cette dame, qui, finalement, a été mise aux arrêts pour recel de malfaiteurs.
Selon le plaignant, en plus de détenir son ordinateur portable, la dame S. Sylla s’était également farouchement interposée à l’arrestation de la mise en cause qui a pris la fuite depuis lors.
Devant les limiers, elle raconte que sa protégée étant une mythomane, elle n’avait pas cru à sa version, lorsqu’elle lui avait dit que c’est son fiancé qui lui avait offert l’ordinateur portable. Selon elle, c’est en toute bonne foi qu’elle a confisqué le bien du plaignant, le temps que quelqu’un le réclame.
Il en est de même pour l’autre prévenue F. Sarr, qui, pour une dette de 4000 francs Cfa que lui devait la belle de nuit, a confisqué l’un des portables volé du plaignant. Finalement, elles ont toutes les deux été déférées au parquet.
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