La directrice de la Case des Tous petits à remis des chèques d’un montant de 500.000 aux conseillères familiales des 14 régions du Sénégal. Constituées en Gie, ces femmes, dont l’activité principale, se trouve être l’accompagnement des femmes enceintes et allaitantes ainsi que le suivi nutritionnel des enfants de 0 à 3 ans. « L’objectif est de permettre aux conseillères familiales de disposer des ressources financières en contrepartie des efforts consentis au service des couples mère-enfant », a expliqué Mme Thérèse Faye Diouf.
Ces financements vont permettre aux femmes de s’adonner à des activités génératrices de revenus sur des projets portant, entre autres, sur l’agriculture, la fabrication de farine infantile, la fabrication de céréales locales, le micro jardinage etc… Les bénéfices issus de ces activités seront répartis comme suit : 80% pour la motivation, 10% pour le renouvellement des outils utilisés et 10% pour le fond de caisse. Toutefois, « ce n’est pas un financement destiné aux cérémonies familiales et autres mondanités », prévient la directrice de l’agence qui précise que l’ANPECTP se réserve « le droit de contrôle et d’encadrement sur le terrain ».
La porte-parole des Conseillères familiales des différentes régions du Sénégal apprécie à sa juste valeur cette initiative. « Vous mettez entre nos mains des ressources destinés à nous aider, à améliorer nos conditions de vie et, par conséquent, de travail », a-t-elle adressé à la directrice de l’agence. Elle n’a pas manqué de rassurer que les femmes vont tenir compte des recommandations et conseils.
Oumar Dembélé (stagiaire).
Ces financements vont permettre aux femmes de s’adonner à des activités génératrices de revenus sur des projets portant, entre autres, sur l’agriculture, la fabrication de farine infantile, la fabrication de céréales locales, le micro jardinage etc… Les bénéfices issus de ces activités seront répartis comme suit : 80% pour la motivation, 10% pour le renouvellement des outils utilisés et 10% pour le fond de caisse. Toutefois, « ce n’est pas un financement destiné aux cérémonies familiales et autres mondanités », prévient la directrice de l’agence qui précise que l’ANPECTP se réserve « le droit de contrôle et d’encadrement sur le terrain ».
La porte-parole des Conseillères familiales des différentes régions du Sénégal apprécie à sa juste valeur cette initiative. « Vous mettez entre nos mains des ressources destinés à nous aider, à améliorer nos conditions de vie et, par conséquent, de travail », a-t-elle adressé à la directrice de l’agence. Elle n’a pas manqué de rassurer que les femmes vont tenir compte des recommandations et conseils.
Oumar Dembélé (stagiaire).