En perspective de la Tabaski, qui sera célébrée, dimanche, par la majorité des musulmans au Sénégal, le Ministre du Commerce et des Pme a visité, hier, quelques marchés de Dakar pour tâter le pouls de la situation. Aminata Assome Diatta a commencé sa visite au marché de Tilène. Malgré la canicule, l’espace de commerce est rythmé et grouillant. Devant les magasins, des camions déchargent des stocks de denrées alimentaires. Communiant avec les clients et commerçants, la délégation du ministère s’assure de la disponibilité des produits, notamment l’huile. « Cette denrée est-elle disponible sur le marché ? Combien coûte-t-elle », interroge, dans la bonne humeur le ministre. Tout souriant, le commerçant répond par l’affirmative. « Nous vendons la bouteille de 20 litres à 27 000 FCfa », répond le commerçant, assurant que le produit est disponible sur le marché.
Après Tilène, cap sur le marché Castor. C’est l’ambiance de fête. Dans le brouhaha, hommes et femmes convergent vers les grandes boutiques. Aminata Assome Diatta prend le chemin inverse. C’est pour s’entretenir avec les vendeurs d’oignon et de pommes de terre. « Au parc de l’oignon », plusieurs centaines de sacs sont disposés à côté des bascules. Cette denrée inonde ce marché. Ce qui est le contraire de la pomme de terre. Pas un sac sur place pour ce légume qui accompagne la sauce. « Le problème chez nous, c’est la pomme de terre. À quelques jours de la fête, nous attendons toujours l’arrivée des camions, parce que nous ne pouvions pas prendre le risque d’acheter tôt pour éviter de voir le produit pourrir entre nos mains », renseigne Moussa Ndiaye, un des commerçants.
L’huile et l’oignon disponibles
Le marché de Thiaroye, autre endroit visité par le ministre du Commerce, est réputé pour la qualité de ses légumes. À 72 heures de la Tabaski, il est bien approvisionné en oignon. Même si le prix, qui varie entre 8.500 et 10.000 FCfa, est jugé trop cher. Pour ce qui est de la pomme de terre, le prix a connu une hausse à cause de la rareté du produit. Le sac est vendu à 15.000 FCfa. Faisant le point de sa visite à l’étape de Thiaroye, Aminata Assome Diatta s’est réjouie de la disponibilité de la plupart des denrées alimentaires. « Le marché est bien approvisionné en huile et en oignon. C’est avec la pomme de terre que nous notons une tension à cause des difficultés de conservation qui rendent réticents les commerçants. Dès cet après-midi (hier), des camions seront chargés et les marchés de Castor, Gueule Tapée, Thiaroye seront servis en priorité », a-t-elle indiqué. À l’en croire, la disponibilité du produit va favoriser la baisse des prix. « Si c’est cher, c’est parce que c’est insuffisant. Si le marché est bien approvisionné, il y aura une baisse des prix », a promis Mme Diatta.
leSoleil
Après Tilène, cap sur le marché Castor. C’est l’ambiance de fête. Dans le brouhaha, hommes et femmes convergent vers les grandes boutiques. Aminata Assome Diatta prend le chemin inverse. C’est pour s’entretenir avec les vendeurs d’oignon et de pommes de terre. « Au parc de l’oignon », plusieurs centaines de sacs sont disposés à côté des bascules. Cette denrée inonde ce marché. Ce qui est le contraire de la pomme de terre. Pas un sac sur place pour ce légume qui accompagne la sauce. « Le problème chez nous, c’est la pomme de terre. À quelques jours de la fête, nous attendons toujours l’arrivée des camions, parce que nous ne pouvions pas prendre le risque d’acheter tôt pour éviter de voir le produit pourrir entre nos mains », renseigne Moussa Ndiaye, un des commerçants.
L’huile et l’oignon disponibles
Le marché de Thiaroye, autre endroit visité par le ministre du Commerce, est réputé pour la qualité de ses légumes. À 72 heures de la Tabaski, il est bien approvisionné en oignon. Même si le prix, qui varie entre 8.500 et 10.000 FCfa, est jugé trop cher. Pour ce qui est de la pomme de terre, le prix a connu une hausse à cause de la rareté du produit. Le sac est vendu à 15.000 FCfa. Faisant le point de sa visite à l’étape de Thiaroye, Aminata Assome Diatta s’est réjouie de la disponibilité de la plupart des denrées alimentaires. « Le marché est bien approvisionné en huile et en oignon. C’est avec la pomme de terre que nous notons une tension à cause des difficultés de conservation qui rendent réticents les commerçants. Dès cet après-midi (hier), des camions seront chargés et les marchés de Castor, Gueule Tapée, Thiaroye seront servis en priorité », a-t-elle indiqué. À l’en croire, la disponibilité du produit va favoriser la baisse des prix. « Si c’est cher, c’est parce que c’est insuffisant. Si le marché est bien approvisionné, il y aura une baisse des prix », a promis Mme Diatta.
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