Analyse Pse- Pierre Ndiaye, Directeur général de la Dpee : « Il y a encore beaucoup d’efforts à faire. Mais… »


Rédigé le Jeudi 10 Mai 2018 à 18:29 | Lu 151 fois | 0 commentaire(s)



Le Directeur de la planification et des politiques économiques, Pierre Ndiaye reconnaît que des avancées sont notées dans la mise en œuvre de la première phase du Pse. Mais, cela ne signifie pas l’atteinte des objectifs. Et, il estime que des efforts restent encore à faire dans plusieurs secteurs stratégiques notamment, dans le domaine de la fiscalité. (suite et fin)


Analyse Pse- Pierre Ndiaye, Directeur général de la Dpee : « Il y a encore beaucoup d’efforts à faire. Mais… »
Il y a nécessité de simplifier le système de fiscalité mais également de sensibiliser largement les populations dans le paiement des impôts. Il faut que les gens paient les impôts. Parce que, les impôts, c’est la source de revenus de l’Etat. Sans ces revenus, on ne peut pas mener convenablement les politiques que nous souhaitons mener », a exhorté le Directeur de la Direction générale de la planification et des politiques économiques (Dpee), Pierre Ndiaye. 

Ainsi, il invite à la poursuite de la mise en œuvre des réformes pour améliorer la qualité de la dépense publique pour faciliter les investissements publics. « Cette croissance a eu des effets sur les autres indicateurs sociaux. Que ce soit dans la santé, l’action sociale, le développement du capital humain. De façon générale, il y a eu des avancées significatives qui ont été notées. 

Cela ne signifie pas que nous avons atteint les objectifs. Il y a encore des défis importants à relever. Ce sont ces défis que nous allons essayer de voir. Nous allons essayer là où il faut mettre l’accent. Et, nous allons chercher à identifier les actions qui nous permettront à la phase II du Pse, de continuer encore à aller vers l’objectif d’émergence à l’horizon 2035
 », indique-t-il. 

A retenir que le rapport a élégamment relevé une faible amélioration de la lutte contre la corruption. Et dans le secteur public, la perception de la corruption est encore forte avec 93%. Les sous-secteurs les plus touchés sont la sécurité publique, constituée de la police et de la gendarmerie, soit 95,9%, la santé avec 29,2% et l’éducation avec 26,1%. 


 


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