Madame Aminata Touré s’est réjouie du travail abattu par les membres de la Crei. « La justice a fait son travail. Et moi je ne commente pas les décisions de la justice. En tout cas, il faut retenir que l’enrichissement illicite a un lien avec les activités de revenus de la personne. C’est-à-dire ce qu’elle faisait dans sa vie avant de gérer les deniers publics », a rappelé Aminata Touré.
Pour l’invitée de « Faram Facce » de ce mercredi, « la Crei doit suivre son cours normal. Parce que, le dossier de la traque des biens mal acquis doit être une histoire banale. Comme c’est le cas dans un pays qui fonctionne normalement. Nous devons aller la révision des comptes. C’est-à-dire chaque année, les personnes, à qui on a confié la gestion des deniers publics doivent rendre compte. Ces gens ne doivent même pas attendre à ce qu’on leur demande de venir rendre compte. Ils doivent prendre volontairement cette volonté en demandant à ce que les gens viennent auditer leur gestion », a-t-il conseillé.
Aminata Touré a profité de cette émission pour apporter la réplique à ceux qui pensent qu’elle fait du dossier de la traque des biens mal acquis un instrument de règlement de compte personnel. Ce, surtout après son départ du ministère de la Justice pour le poste de Premier ministre, il y a un ralentissement dans le processus de traquer des responsables libéraux. « Un ministre ne fonctionne que sous les ordres et directives du président de la République. L’affaire de la traque des biens mal acquis a été un des engagements pris par le chef de l’Etat. Qui croit à la bonne gouvernance. Donc, il est normal qu’on audite sur la gestion des deniers publics. Il m’a donné des instructions sur lesquelles j’avais travaillé en vue de les mettre à exécution. Ce qui est d’ailleurs normal entre un ministre et le président de la République », a-t-elle répondu à ceux qui soutiennent que les arrestations de Karim Wade et Hisséne Habré ont été faites sans l’aval du Président Macky Sall.
Avant de lancer : « Pensez-vous que cela est possible ? Nous sommes dans une République qui marche. Il y a le président de la République qui est élu par les citoyens. Il confie une partie de son pouvoir aux ministres à qui il donne des instructions. Ils sont obligés de lui rendre compte régulièrement. Et comme je faisais partie de ces ministres à qui il a confié une partie de son pouvoir, j’étais tenue de suivre ses instructions. Voilà en qu’en tant que ministre de la Justice aussi j’ai mené cette mission qui m’est assignée ».
Tapa TOUNKARA
IGFM
Pour l’invitée de « Faram Facce » de ce mercredi, « la Crei doit suivre son cours normal. Parce que, le dossier de la traque des biens mal acquis doit être une histoire banale. Comme c’est le cas dans un pays qui fonctionne normalement. Nous devons aller la révision des comptes. C’est-à-dire chaque année, les personnes, à qui on a confié la gestion des deniers publics doivent rendre compte. Ces gens ne doivent même pas attendre à ce qu’on leur demande de venir rendre compte. Ils doivent prendre volontairement cette volonté en demandant à ce que les gens viennent auditer leur gestion », a-t-il conseillé.
Aminata Touré a profité de cette émission pour apporter la réplique à ceux qui pensent qu’elle fait du dossier de la traque des biens mal acquis un instrument de règlement de compte personnel. Ce, surtout après son départ du ministère de la Justice pour le poste de Premier ministre, il y a un ralentissement dans le processus de traquer des responsables libéraux. « Un ministre ne fonctionne que sous les ordres et directives du président de la République. L’affaire de la traque des biens mal acquis a été un des engagements pris par le chef de l’Etat. Qui croit à la bonne gouvernance. Donc, il est normal qu’on audite sur la gestion des deniers publics. Il m’a donné des instructions sur lesquelles j’avais travaillé en vue de les mettre à exécution. Ce qui est d’ailleurs normal entre un ministre et le président de la République », a-t-elle répondu à ceux qui soutiennent que les arrestations de Karim Wade et Hisséne Habré ont été faites sans l’aval du Président Macky Sall.
Avant de lancer : « Pensez-vous que cela est possible ? Nous sommes dans une République qui marche. Il y a le président de la République qui est élu par les citoyens. Il confie une partie de son pouvoir aux ministres à qui il donne des instructions. Ils sont obligés de lui rendre compte régulièrement. Et comme je faisais partie de ces ministres à qui il a confié une partie de son pouvoir, j’étais tenue de suivre ses instructions. Voilà en qu’en tant que ministre de la Justice aussi j’ai mené cette mission qui m’est assignée ».
Tapa TOUNKARA
IGFM