«Le Mois de l’histoire des Noirs, à la vérité, ce mois est devenu le mois de l’histoire des noirs de toutes les couleurs», a déclaré Amadou Lamine Sall qui rappelle que, comme le disait Senghor, quand des peuples se rencontrent, ils se combattent souvent, mais ils se métissent toujours.
«Et je crois que nous sommes tous devenus des Noirs de toutes les couleurs. Et c’est cela qui est l’avenir de notre civilisation, et nous devons y prêter attention», expliquera-t-il. Amadou Lamine Sall indique que quelque chose est en train de se faire aujourd’hui à travers le monde : c’est l’installation des mémoriaux.
«Le Sénégal va fermer le triangle en construisant le Mémorial de Gorée», avait dit Macky Sall, a rappelé Amadou Lamine Sall. Il ajoute qu’après l’installation d’un mémorial dans les Caraïbes, aux Etats-Unis, c’est la réalisation du Mémorial de Gorée qui va fermer ce triangle, et c’est dans un pays qui s’appelle le Sénégal et un continent qui s’appelle l’Afrique.
«Et c’est ce continent qui est le phare de toute cette tragédie dont on parle et de toute cette mémoire souffrante dont on parle également», ajoute-t-il sur un ton émouvant, tout en précisant que la plus grande tragédie, c’est aussi notre silence à nous.
«La plus grande tragédie, c’est de ne pas agir pour que notre monde soit un monde de rêve, parce que nous ne devons pas laisser à Martin Luther King seul le monopole du rêve», a-t-il conclu
Le quotidien
«Et je crois que nous sommes tous devenus des Noirs de toutes les couleurs. Et c’est cela qui est l’avenir de notre civilisation, et nous devons y prêter attention», expliquera-t-il. Amadou Lamine Sall indique que quelque chose est en train de se faire aujourd’hui à travers le monde : c’est l’installation des mémoriaux.
«Le Sénégal va fermer le triangle en construisant le Mémorial de Gorée», avait dit Macky Sall, a rappelé Amadou Lamine Sall. Il ajoute qu’après l’installation d’un mémorial dans les Caraïbes, aux Etats-Unis, c’est la réalisation du Mémorial de Gorée qui va fermer ce triangle, et c’est dans un pays qui s’appelle le Sénégal et un continent qui s’appelle l’Afrique.
«Et c’est ce continent qui est le phare de toute cette tragédie dont on parle et de toute cette mémoire souffrante dont on parle également», ajoute-t-il sur un ton émouvant, tout en précisant que la plus grande tragédie, c’est aussi notre silence à nous.
«La plus grande tragédie, c’est de ne pas agir pour que notre monde soit un monde de rêve, parce que nous ne devons pas laisser à Martin Luther King seul le monopole du rêve», a-t-il conclu
Le quotidien