Selon le journal, même si le candidat de la coalition au pouvoir dit son intention de poursuivre les réalisations du chef de l’État actuel, il n’en compte pas moins, s’il est élu le 25 février prochain, tracer sa propre voie
“Je pense que je ne pourrais pas être crédible, si je n'endosse pas le bilan de Macky Sall. Il y a énormément de choses qui ont été faites. Je suis comptable de ce bilan. Mais je ne serai pas président de la République pour faire du copiercoller, la même chose”, a-t-il déclaré d’entrée. Avant de souligner qu’il est dans l’obligation d’aller vite, au regard des nombreux défis que rencontre notre pays.
“Il faut aller de l’avant et approfondir à partir de ce qui existe déjà. Je veux être le président qui s’attaquera de manière frontale à l’emploi des jeunes. Aujourd’hui, ce n’est pas avec les 15 000 emplois par an qu’on résoudra cette problématique. Il nous faut aller vers des cadences de 200 000 emplois par an”, renseigne-t-il.
“Je pense que je ne pourrais pas être crédible, si je n'endosse pas le bilan de Macky Sall. Il y a énormément de choses qui ont été faites. Je suis comptable de ce bilan. Mais je ne serai pas président de la République pour faire du copiercoller, la même chose”, a-t-il déclaré d’entrée. Avant de souligner qu’il est dans l’obligation d’aller vite, au regard des nombreux défis que rencontre notre pays.
“Il faut aller de l’avant et approfondir à partir de ce qui existe déjà. Je veux être le président qui s’attaquera de manière frontale à l’emploi des jeunes. Aujourd’hui, ce n’est pas avec les 15 000 emplois par an qu’on résoudra cette problématique. Il nous faut aller vers des cadences de 200 000 emplois par an”, renseigne-t-il.