Aly Baldé, un étudiant sénégalais âgé de 26 ans, parti en Russie pour l’année scolaire 2019-2020, est depuis un an dans les liens de la détention. Il est emprisonné au centre de rétention de Saint-Pétersbourg, la deuxième plus grande de la ville après son interpellation dans un marché où il travaillait.
Selon L’Observateur, le travail des étudiants qui était interdit en Russie, est maintenant autorisé suivant des conditions très strictes. L’étudiant qui souhaite travailler doit se punir d’un permis, ce que le sénégalais originaire de Kolda, n’a pas.
« J’avais perdu mon passeport au moment de mon arrestation, il me fallait donc un sauf-conduit pour être programmé sur un vol au plus vite. J’ai appelé le consulat à deux reprises avant de tomber sur une dame à qui j’ai expliqué ma situation. Elle s’est entourée de toutes les garanties avant de prendre mon histoire au sérieux. Elle m’a rassuré que le document allait vite être envoyé », a raconté Aly Baldé à travers une communication qui se fait par correspondance sur un réseau social.
Selon lui, il ne devrait même pas rester 3 mois dans le centre de rétention. « Soit ils me déportent, soit ils me libèrent », a-t-il tonné.
L’étudiant qui ne manque pas d’envoyer des preuves de sa nationalité, a informé qu’il est considéré comme un animal par les détenus qui attendent leur expulsion et qui sont originaires des pays d’Europe de l’est.
Selon L’Observateur, le travail des étudiants qui était interdit en Russie, est maintenant autorisé suivant des conditions très strictes. L’étudiant qui souhaite travailler doit se punir d’un permis, ce que le sénégalais originaire de Kolda, n’a pas.
« J’avais perdu mon passeport au moment de mon arrestation, il me fallait donc un sauf-conduit pour être programmé sur un vol au plus vite. J’ai appelé le consulat à deux reprises avant de tomber sur une dame à qui j’ai expliqué ma situation. Elle s’est entourée de toutes les garanties avant de prendre mon histoire au sérieux. Elle m’a rassuré que le document allait vite être envoyé », a raconté Aly Baldé à travers une communication qui se fait par correspondance sur un réseau social.
Selon lui, il ne devrait même pas rester 3 mois dans le centre de rétention. « Soit ils me déportent, soit ils me libèrent », a-t-il tonné.
L’étudiant qui ne manque pas d’envoyer des preuves de sa nationalité, a informé qu’il est considéré comme un animal par les détenus qui attendent leur expulsion et qui sont originaires des pays d’Europe de l’est.