Le Sénégal ne cesse d’émerveiller le monde à travers plusieurs disciplines. Après le football et le basket, l’Alpinisme a pris le relais avec la prouesse d’un jeune ingénieur sénégalais, Mouhamed Tounkara. Il a réussi le pari de gravir le sommet du Mont Kilimandjaro. Suite à cette performance, Mouhamed Tounkara s’est montré très humble ne connaissait pas vraiment les montagnes, ni la neige. "Je suis sénégalais. Je suis né et grandi au Sénégal. J’ai découvert les montagnes avec le snowboard. Mon beau-frère m’a fait découvrir le ski et le snowboard. Après, juste descendre les pistes des montagnes ne me suffisait pas, donc je me suis dit qu’il fallait que je commence à les gravir », a-t-il expliqué.
Ainsi, l’alpiniste a expliqué les obstacles et les dangers à surmonter durant son voyage. « Le plus éprouvant, c'étaient les dangers : les crevasses que je devais sauter, les chutes de pierres que je devais éviter, les passages très raides que je devais gérer. Ces dangers-là étaient un vrai challenge pour moi. Il y avait aussi le manque d’oxygène, parce qu’à 4 000 mètres d’altitude, il y a moins d’oxygène dans l’air, ce qui était très éprouvant », relate-t-il.
Dans cet pénible épreuve, Mouhamed a connu la souffrance et la fatigue. Mais aussi, des faiblesses, liées à un manque d’oxigène et de sommeil, entraînant des maux de tête. « On n’arrive pas à dormir. Parce que, le cœur pompe plus en altitude. On a des maux de tête, on a souvent des vertiges. C’est pour ça qu’il faut s’acclimater, c’est-à-dire, rester au moins deux trois jours en altitude pour laisser le corps s’adapter au manque d’oxygène », révèle Mouhamed Tounkara.
Et, le jeune sénégalais en escaladant ses montagnes a vu sa vie défiler à plusieurs reprises. Et, apprenant à contrôler ses émotions, il a réussi à surpasser et à mieux apprécier. « Quand on est en montagne, on est tout le temps exposé à la mort. C’est avec la souffrance qu’on grandit », retient-il.
Ainsi, l’alpiniste a expliqué les obstacles et les dangers à surmonter durant son voyage. « Le plus éprouvant, c'étaient les dangers : les crevasses que je devais sauter, les chutes de pierres que je devais éviter, les passages très raides que je devais gérer. Ces dangers-là étaient un vrai challenge pour moi. Il y avait aussi le manque d’oxygène, parce qu’à 4 000 mètres d’altitude, il y a moins d’oxygène dans l’air, ce qui était très éprouvant », relate-t-il.
Dans cet pénible épreuve, Mouhamed a connu la souffrance et la fatigue. Mais aussi, des faiblesses, liées à un manque d’oxigène et de sommeil, entraînant des maux de tête. « On n’arrive pas à dormir. Parce que, le cœur pompe plus en altitude. On a des maux de tête, on a souvent des vertiges. C’est pour ça qu’il faut s’acclimater, c’est-à-dire, rester au moins deux trois jours en altitude pour laisser le corps s’adapter au manque d’oxygène », révèle Mouhamed Tounkara.
Et, le jeune sénégalais en escaladant ses montagnes a vu sa vie défiler à plusieurs reprises. Et, apprenant à contrôler ses émotions, il a réussi à surpasser et à mieux apprécier. « Quand on est en montagne, on est tout le temps exposé à la mort. C’est avec la souffrance qu’on grandit », retient-il.