«Ce policier qui a giflé un jeune en plein visage dans la rue tel que les réseaux sociaux l’ont démontré, constitue une interpellation. S’ils (les policiers) le font en public, je me demande bien ce que ça sera lorsque vous êtes avec eux, entre quatre murs… ? Quel avocat sera sur place pour vous défendre ? Qu’avez-vous pour dire non à ces éléments de torture que nous devons tous dénoncer ? », s’interroge-t-il. L’avocat affirme que la situation d’impunité qui se passe dans les Commissariats de police, brigades de gendarmerie, prisons et même dans la justice, est alarmante. Il en veut pour preuve l’affaire de la triche au bac.
«Nous avons assisté, l’année dernière, à la suite de préparations âpres et longues, de jeunes candidats au Baccalauréat sacrifiés par l’incurie de ceux qui sont censés organiser ce diplôme majeur d’accès à l’enseignement supérieur. On nous apprend, il y a quelques jours, qu’il y a eu, pour certains d’entre les inculpés, une ordonnance de non-lieu.
Cette situation d’impunité rampante aujourd’hui est devenue une réalité. Elle fait que certains parmi nous pensent qu’ils sont des citoyens à part entière et que d’autres pensent que ce sont des citoyens entièrement à part», s’indigne l’ancien ministre des Affaires étrangères.
«Nous avons assisté, l’année dernière, à la suite de préparations âpres et longues, de jeunes candidats au Baccalauréat sacrifiés par l’incurie de ceux qui sont censés organiser ce diplôme majeur d’accès à l’enseignement supérieur. On nous apprend, il y a quelques jours, qu’il y a eu, pour certains d’entre les inculpés, une ordonnance de non-lieu.
Cette situation d’impunité rampante aujourd’hui est devenue une réalité. Elle fait que certains parmi nous pensent qu’ils sont des citoyens à part entière et que d’autres pensent que ce sont des citoyens entièrement à part», s’indigne l’ancien ministre des Affaires étrangères.