Lors de sa conférence de presse vendredi dernier, pour rendre public la liste de 23 joueurs pour affronter le Madagascar le 09 septembre prochain, Aliou Cissé avait clairement répondu aux observateurs, surtout à El Hadj Diouf et sa bande de 2002. « Je suis le sélectionneur. Il faut me laisser travailler », telle était ses propos.
C’est alors suffisant pour qu’il s’offre une polémique inutile. Ça ne valait pas la peine de tenir un discours de la sorte. Parce que, personne n’a jamais contesté qu’il est le sélectionneur de l’équipe national. Mais plutôt ses errements, parfois ses lacunes et surtout, ses choix.
Aujourd’hui, sur sa dernier liste, rien ne peut justifier l’absence de Kara Mbodj et de Diafra sakho. Sauf, peut-être qu’ils sont victimes de leurs discours post mondial. En tout cas, bon nombre d’observateurs s’indignent de ces absences. « Rien ne peut expliquer les absences de Khadim Ndiaye et de Kara Mbodj sur cette liste », a dit Lamine Mboup, un ancien international des années 90 dans le quotidien Stades. Cet ancien international reste catégorique: « seul un règlement de compte pourrait expliquer ces deux absences ».
Un avis que partage Abdoulaye Camara qui regrette le fait que le sélectionneur du Sénégal « n’accorde aucun crédit aux observations faits sur ses errements ».
C’est alors suffisant pour qu’il s’offre une polémique inutile. Ça ne valait pas la peine de tenir un discours de la sorte. Parce que, personne n’a jamais contesté qu’il est le sélectionneur de l’équipe national. Mais plutôt ses errements, parfois ses lacunes et surtout, ses choix.
Aujourd’hui, sur sa dernier liste, rien ne peut justifier l’absence de Kara Mbodj et de Diafra sakho. Sauf, peut-être qu’ils sont victimes de leurs discours post mondial. En tout cas, bon nombre d’observateurs s’indignent de ces absences. « Rien ne peut expliquer les absences de Khadim Ndiaye et de Kara Mbodj sur cette liste », a dit Lamine Mboup, un ancien international des années 90 dans le quotidien Stades. Cet ancien international reste catégorique: « seul un règlement de compte pourrait expliquer ces deux absences ».
Un avis que partage Abdoulaye Camara qui regrette le fait que le sélectionneur du Sénégal « n’accorde aucun crédit aux observations faits sur ses errements ».