«Nous alertions sur un phénomène nouveau qui risque d’épuiser nos dernières réserves forestières. Il s’agit du cas des éleveurs transhumants. Ils utilisent un modus operandi jamais connu de nos éleveurs locaux. Nous assistons à un véritable carnage de nos derniers bastions forestiers, au vu et au su de tout le monde», a indiqué pour le déplorer M. Baldé.
L’acteur de la société civile de poursuivre : «Pour nourrir leurs bêtes, ils élaguent ou coupent des arbres entiers. Des espèces interdites de coupe se trouvant dans des forêts classées, font parfois l’objet de pillage effectué par ces transhumants».
C’est pourquoi, il lance un appel à l’Etat pour qu’il prenne les dispositions idoines, afin de mettre un terme à «ce carnage», qui risque de rayer les forêts de la carte du Fouladou.
Au même moment, les collectivités territoriales concernées doivent porter le plaidoyer pour que «la loi puisse être appliquée sur toute sa rigueur, pour les transhumants récidivistes». Moudjibou Rahmane Baldé de demander aussi aux villageois qui hébergent ces destructeurs des forêts, d’arrêter. Car, «ils sont aussi coupables que ces derniers», conclut-il.
Tribune
L’acteur de la société civile de poursuivre : «Pour nourrir leurs bêtes, ils élaguent ou coupent des arbres entiers. Des espèces interdites de coupe se trouvant dans des forêts classées, font parfois l’objet de pillage effectué par ces transhumants».
C’est pourquoi, il lance un appel à l’Etat pour qu’il prenne les dispositions idoines, afin de mettre un terme à «ce carnage», qui risque de rayer les forêts de la carte du Fouladou.
Au même moment, les collectivités territoriales concernées doivent porter le plaidoyer pour que «la loi puisse être appliquée sur toute sa rigueur, pour les transhumants récidivistes». Moudjibou Rahmane Baldé de demander aussi aux villageois qui hébergent ces destructeurs des forêts, d’arrêter. Car, «ils sont aussi coupables que ces derniers», conclut-il.
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