Nathalie Chivassa avance dans ce sens que le Sénégal n’est pas le seul pays à souffrir des accidents de la circulation. «Avec les chiffres publiés par l’Oms dans son dernier rapport, j’ai voulu montrer quelques chiffres clés, notamment que les personnes les plus touchées sont les jeunes de 5 à 29 ans», a dit l’experte principale en sécurité routière.
Intervenant dans le cadre d’un atelier de sensibilisation et d’information des journalistes sur le transport, elle souligne que la moitié des accidents c’est des piétons, des cyclistes, des motocyclistes.
«Cela veut dire que les personnes les plus touchées par les accidents, ce sont les personnes les plus vulnérables dans la société. Un enfant de cinq ans ne conduit pas mais quand il part à l’école, il peut subir un accident», a-t-elle étayé. C’est pourquoi, elle plaide pour des «efforts coordonnés» avec tous les sous-secteurs de la sécurité routière, pour arriver à éviter tous ces drames.
Elle souligne que le Sénégal est confronté à ce problème au même titre que les autres pays.
«Même si beaucoup d’efforts sont consentis, on doit continuer d’améliorer la sécurité des infrastructures en tenant compte de ces usagers vulnérables, par piétons, les intersections, les routes qui ont un profilage beaucoup plus sécurisé», a-t-elle recommandé. Un engagement suscité par une méconnaissance du code de la route et des difficultés à le faire appliquer, que le gouvernement cherche à changer aujourd’hui.
Sur cette base, Nathalie Chivassa soutient que les défis c’est d’arriver à «des opérations coordonnées au niveau des routes, des véhicules et des conducteurs». C’est aussi de parvenir à avoir des «actions préventives», ne plus attendre qu’on intervienne après l’accident et d’appliquer la loi.
Intervenant dans le cadre d’un atelier de sensibilisation et d’information des journalistes sur le transport, elle souligne que la moitié des accidents c’est des piétons, des cyclistes, des motocyclistes.
«Cela veut dire que les personnes les plus touchées par les accidents, ce sont les personnes les plus vulnérables dans la société. Un enfant de cinq ans ne conduit pas mais quand il part à l’école, il peut subir un accident», a-t-elle étayé. C’est pourquoi, elle plaide pour des «efforts coordonnés» avec tous les sous-secteurs de la sécurité routière, pour arriver à éviter tous ces drames.
Elle souligne que le Sénégal est confronté à ce problème au même titre que les autres pays.
«Même si beaucoup d’efforts sont consentis, on doit continuer d’améliorer la sécurité des infrastructures en tenant compte de ces usagers vulnérables, par piétons, les intersections, les routes qui ont un profilage beaucoup plus sécurisé», a-t-elle recommandé. Un engagement suscité par une méconnaissance du code de la route et des difficultés à le faire appliquer, que le gouvernement cherche à changer aujourd’hui.
Sur cette base, Nathalie Chivassa soutient que les défis c’est d’arriver à «des opérations coordonnées au niveau des routes, des véhicules et des conducteurs». C’est aussi de parvenir à avoir des «actions préventives», ne plus attendre qu’on intervienne après l’accident et d’appliquer la loi.