Pacu , le poisson mangeur de testicules, qui a été aperçu en Suède et au Danemark est repéré dans les eaux Sénégalaises selon des pécheurs chinois.
Vrai ou faux, les Sénégalais amateurs de baignade de nuit sont avertis. D’autant plus que ce sont les testicules qui fabriquent les spermatozoïdes.
En le regardant de plus près, il s’est aperçu que ce poisson avait une dentition semblable à la dentition humaine spécialement conçue pour broyer. C’est avec ses dents que le poisson castrait ses proies avant de les laisser mourir dans un bain de sang.
« Gardez vos maillots de bain sur vous si vous vous baignez ces jours-ci« . Cette alerte n’est pas destinée aux naturistes du nord de l’Europe mais vise à mettre en garde les baigneurs contre d’éventuelles morsures de pacu.
Les scientifiques ont mis en garde les baigneurs masculins après la découverte il y a quelques jours d’un pacu, un poisson proche du piranha, connu pour attaquer les parties intimes des hommes, au large de la Suède.
Le pacu, un poisson de la famille des piranhas, a été aperçu pour la première fois en Europe, le long des côtes suédoises, révèle le Telegraph. La particularité de l'animal? Son penchant pour les testicules humains.
Ce poisson d'eau douce, originaire de l'Amazone, peut atteindre jusqu'à 25 kg et mesurer près de 90 cm. S'il se nourrit habituellement de végétation aquatique, son habitude d'attaquer les organes génitaux masculins est rapidement devenue notoire.
En Océanie, deux pêcheurs ont ainsi succombé aux hémorragies provoquées par les morsures en 2011. D'après l'expert, les pacu s'attaquent aux testicules parce qu'ils ont faim et que la taille plutôt réduite de leurs bouches fait des testicules humains une ''cible naturelle'' pour ces poissons notamment amateurs de noix.
L’expert précise que ce qui différencie le pacu du piranha est sa « dentition plus plate et plus large, parfaite pour écraser ». Des tests ADN sont en cours et permettront de déterminer s’agit bien de cette espèce friande de testicules. Si à l’heure actuelle uniquement un seul pacu a été trouvé, il pourrait y’en avoir d’autres. Et l’expert de s’inquiéter : « Cela pourrait avoir de graves conséquences ».
Vrai ou faux, les Sénégalais amateurs de baignade de nuit sont avertis. D’autant plus que ce sont les testicules qui fabriquent les spermatozoïdes.
En le regardant de plus près, il s’est aperçu que ce poisson avait une dentition semblable à la dentition humaine spécialement conçue pour broyer. C’est avec ses dents que le poisson castrait ses proies avant de les laisser mourir dans un bain de sang.
« Gardez vos maillots de bain sur vous si vous vous baignez ces jours-ci« . Cette alerte n’est pas destinée aux naturistes du nord de l’Europe mais vise à mettre en garde les baigneurs contre d’éventuelles morsures de pacu.
Les scientifiques ont mis en garde les baigneurs masculins après la découverte il y a quelques jours d’un pacu, un poisson proche du piranha, connu pour attaquer les parties intimes des hommes, au large de la Suède.
Le pacu, un poisson de la famille des piranhas, a été aperçu pour la première fois en Europe, le long des côtes suédoises, révèle le Telegraph. La particularité de l'animal? Son penchant pour les testicules humains.
Ce poisson d'eau douce, originaire de l'Amazone, peut atteindre jusqu'à 25 kg et mesurer près de 90 cm. S'il se nourrit habituellement de végétation aquatique, son habitude d'attaquer les organes génitaux masculins est rapidement devenue notoire.
En Océanie, deux pêcheurs ont ainsi succombé aux hémorragies provoquées par les morsures en 2011. D'après l'expert, les pacu s'attaquent aux testicules parce qu'ils ont faim et que la taille plutôt réduite de leurs bouches fait des testicules humains une ''cible naturelle'' pour ces poissons notamment amateurs de noix.
L’expert précise que ce qui différencie le pacu du piranha est sa « dentition plus plate et plus large, parfaite pour écraser ». Des tests ADN sont en cours et permettront de déterminer s’agit bien de cette espèce friande de testicules. Si à l’heure actuelle uniquement un seul pacu a été trouvé, il pourrait y’en avoir d’autres. Et l’expert de s’inquiéter : « Cela pourrait avoir de graves conséquences ».