Un commerce qui aiguise bien des appétits. C’est le moins qu’on puisse dire. La circulation de viande d’âne dans les marchés du Sénégal est bien réelle. En dehors de la quantité que la Sogas avait l’habitude d’abattre pour le compte du Parc de Hann, la nourriture des chiens d’élevage, et une certaine clientèle chinoise, il y a des risques de consommation de viande d’âne par la population. « Le phénomène qui nous a amené à cette situation est que la peau d’âne, on ne sait pour quel raison, a un enjeu financier. Elle coûte 35 milles FCfa, deux fois le prix de l’animal vivant. Ce qui a fait qu’il est devenu un marché qui intéresse pas mal de gens », a souligné l’inspecteur.
A l'en croire, la quantité de viande correspondante à la découverte de 1 500 peaux d’âne n’est pas sous contrôle des services de l’abattage et de la distribution. « On a constaté que 1 500 peaux étaient en stock au niveau de la Sogas. En faisant le calcul, on s'est rendu compte que 20 tonnes sont stockés et contrôlés par les services de l’élevage qui connait actuellement toutes les destinations de cette viande. Pour les 35 milles tonnes restantes, on ne sait pas où elles sont. C’est pourquoi on a parlé de risque de circulation de viande d’âne pas seulement à Dakar mais sur tout le territoire national », a déclaré Ousseynou Niang Diallo qui s’exprimait au cours de la conférence de presse de l’Association des bouchers de Dakar. Cette dernière dénonce et condamne vigoureusement l'abattage clandestin.
A l'en croire, la quantité de viande correspondante à la découverte de 1 500 peaux d’âne n’est pas sous contrôle des services de l’abattage et de la distribution. « On a constaté que 1 500 peaux étaient en stock au niveau de la Sogas. En faisant le calcul, on s'est rendu compte que 20 tonnes sont stockés et contrôlés par les services de l’élevage qui connait actuellement toutes les destinations de cette viande. Pour les 35 milles tonnes restantes, on ne sait pas où elles sont. C’est pourquoi on a parlé de risque de circulation de viande d’âne pas seulement à Dakar mais sur tout le territoire national », a déclaré Ousseynou Niang Diallo qui s’exprimait au cours de la conférence de presse de l’Association des bouchers de Dakar. Cette dernière dénonce et condamne vigoureusement l'abattage clandestin.