«J’avais déjà fait la remarque qu’il y a trop de sucre dans les produits laitier et céréalier de Nestlé. J’ai donc arrêté leur utilisation après avoir entendu les risques que cela peut causer aux enfants», a dit Maguette Camara. Selon la jeune maman, ses enfants ont l’habitude de boire du lait Nido chaque matin avant d’aller à l’école. Cependant, elle dit être «très inquiète» pour leur santé après tant d’années de consommation de ces produits.
«La commercialisation des produits destinés aux enfants exige un fort engagement des autorités compétentes en la matière», lâche une jeune maman du nom de Amy Niang, mère d’un bébé de 9 mois. Cette dame, très surprise par la nouvelle, fustige la «négligence des autorités» dans la pratique d’homologation de produits importés
«C’est la faute à nos autorités parce qu’elles sont habilitées à dire que tel produit est susceptible d’être sur le marché. Mais à ce rythme, j’ai beaucoup de craintes pour les enfants», fulmine-t-elle
Portant son enfant sur le dos, Rose Faye, ses mains tenant un sachet contenant des légumes, appelle les parents à plus de responsabilité. «Les parents doivent veiller à l’alimentation des enfants.
Personnellement, j’achetais les produits locaux pour mon bébé mais depuis que j’ai entendu le contenu du rapport, j’ai décidé de préparer les repas de mon enfant à base de légumes tels que la carotte, le navet et la patate douce», a-t-elle expliqué.
Au Sénégal, de nombreux organismes sont focalisés sur la transformation des produits locaux afin d’assouplir les risques de malnutrition chez les enfants de moins de 5 ans. Cependant, la commercialisation dans les grandes surfaces pour faciliter l’accès à ces produits locaux aux populations reste toujours un problème majeur à combattre.
«La commercialisation des produits destinés aux enfants exige un fort engagement des autorités compétentes en la matière», lâche une jeune maman du nom de Amy Niang, mère d’un bébé de 9 mois. Cette dame, très surprise par la nouvelle, fustige la «négligence des autorités» dans la pratique d’homologation de produits importés
«C’est la faute à nos autorités parce qu’elles sont habilitées à dire que tel produit est susceptible d’être sur le marché. Mais à ce rythme, j’ai beaucoup de craintes pour les enfants», fulmine-t-elle
Portant son enfant sur le dos, Rose Faye, ses mains tenant un sachet contenant des légumes, appelle les parents à plus de responsabilité. «Les parents doivent veiller à l’alimentation des enfants.
Personnellement, j’achetais les produits locaux pour mon bébé mais depuis que j’ai entendu le contenu du rapport, j’ai décidé de préparer les repas de mon enfant à base de légumes tels que la carotte, le navet et la patate douce», a-t-elle expliqué.
Au Sénégal, de nombreux organismes sont focalisés sur la transformation des produits locaux afin d’assouplir les risques de malnutrition chez les enfants de moins de 5 ans. Cependant, la commercialisation dans les grandes surfaces pour faciliter l’accès à ces produits locaux aux populations reste toujours un problème majeur à combattre.