Le Sénégal, par la voix de sa ministre de la Justice, a de nouveau exclu, lundi, à Genève, toute idée de légalisation de l’homosexualité, en réaffirmant une «position de principe claire» sur la question des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres). «(…) Pour les LGBT, je voulais rappeler solennellement, la position du Sénégal.
Le Sénégal exclut toute idée de légalisation sur la question des LGBT. Et c’est pour cela que le Sénégal a rejeté beaucoup de résolutions», a notamment souligné Me Aïssata Tall Sall, lors de l’Examen de la situation des droits de l’homme au Sénégal dans le cadre de l’Examen périodique universel (Epu) du Conseil des droits de l’homme des Nations unies.
«Le Sénégal a rejeté toutes les résolutions où la question des LGBT a été incluse parce que c’est la position souveraine du Sénégal. C’est une position claire et le Sénégal dit devant ses partenaires, et le dit à la communauté internationale. C’est la position de principe du Sénégal. Le Sénégal ne légalise pas les droits sur les LGBT», a-insisté Aïssata Tall Sall.
Alors que dans la matinée d’hier, Human rights watch avait publié son rapport très critique sur le respect des libertés et des droits humains au Sénégal, la ministre de la justice a affirmé qu’au Sénégal, «les libertés sont exercées et totalement exercées» et que «l’usage de la force est réprimé et totalement et judiciairement réprimé».
Plusieurs intervenants ont salué les «efforts» du Sénégal pour la promotion des droits de l’homme ces dernières années. Nombreux parmi eux ont formulé des recommandations à l’Etat du Sénégal pour améliorer la situation des droits humains dans le pays.
Ils ont par exemple invité le Sénégal à «accroitre l’accès des filles des zones rurales à l’éducation, réduire la mortalité maternelle et infantile, veiller sur le principe de non-discrimination et sur la protection des minorités».
Les recommandations ont également trait à la réduction des surcharges dans les prisons, la sensibilisation sur les changements climatiques, la réduction de la pauvreté, la lutte contre les violences basées sur le genre, le renforcement du Comité sénégalais des droits de l’homme, la protection des personnes vivant avec un handicap, entre autres.
Le Groupe de travail sur l’Epu adoptera les recommandations faites au Sénégal le 26 janvier. Le Conseil des droits de l’homme indique que le Sénégal est l’un des 14 Etats à être examiné par le Groupe de travail de l’Epu au cours de sa 44e session qui se tient du 22 janvier au 2 février 2024
Bes Bi
Le Sénégal exclut toute idée de légalisation sur la question des LGBT. Et c’est pour cela que le Sénégal a rejeté beaucoup de résolutions», a notamment souligné Me Aïssata Tall Sall, lors de l’Examen de la situation des droits de l’homme au Sénégal dans le cadre de l’Examen périodique universel (Epu) du Conseil des droits de l’homme des Nations unies.
«Le Sénégal a rejeté toutes les résolutions où la question des LGBT a été incluse parce que c’est la position souveraine du Sénégal. C’est une position claire et le Sénégal dit devant ses partenaires, et le dit à la communauté internationale. C’est la position de principe du Sénégal. Le Sénégal ne légalise pas les droits sur les LGBT», a-insisté Aïssata Tall Sall.
Alors que dans la matinée d’hier, Human rights watch avait publié son rapport très critique sur le respect des libertés et des droits humains au Sénégal, la ministre de la justice a affirmé qu’au Sénégal, «les libertés sont exercées et totalement exercées» et que «l’usage de la force est réprimé et totalement et judiciairement réprimé».
Plusieurs intervenants ont salué les «efforts» du Sénégal pour la promotion des droits de l’homme ces dernières années. Nombreux parmi eux ont formulé des recommandations à l’Etat du Sénégal pour améliorer la situation des droits humains dans le pays.
Ils ont par exemple invité le Sénégal à «accroitre l’accès des filles des zones rurales à l’éducation, réduire la mortalité maternelle et infantile, veiller sur le principe de non-discrimination et sur la protection des minorités».
Les recommandations ont également trait à la réduction des surcharges dans les prisons, la sensibilisation sur les changements climatiques, la réduction de la pauvreté, la lutte contre les violences basées sur le genre, le renforcement du Comité sénégalais des droits de l’homme, la protection des personnes vivant avec un handicap, entre autres.
Le Groupe de travail sur l’Epu adoptera les recommandations faites au Sénégal le 26 janvier. Le Conseil des droits de l’homme indique que le Sénégal est l’un des 14 Etats à être examiné par le Groupe de travail de l’Epu au cours de sa 44e session qui se tient du 22 janvier au 2 février 2024
Bes Bi