Des représentants de 13 pays d’Afrique sont à Joal, pour une rencontre organisée par l’Union internationale de conservation de la Nature (Uicn), sur la gestion des Aires marines protégées (Amp), dans le cadre de son Programme régional de l’Afrique centrale et de l’Ouest. Dans le domaine de la gestion et de la gouvernance des aires marines protégées, Joal est un cas d’école dans la sous-région.
En effet, sur 174 km², 20,700 sont fermés pour la reproduction des espèces. Ceci est le fruit d’un travail de longue haleine pour convaincre les pêcheurs que ces aires marines protégées, leur sont d’autant plus profitables qu’elles permettent une bonne gestion des ressources.
«L’aire marine protégée de Joal est l’une des premières Amp créées en Afrique. L’objectif est la conservation de la biodiversité, la valorisation des parts des ressources marines côtières et le développement durable. A Joal, la principale activité économique, c’est la pêche. Sans cette aire marine protégée, les acteurs ne pourraient pas vivre de leur travail. Actuellement, il y a, à Joal, six groupements de femmes qui sont dans des activités génératrices de revenus», a déclaré Mapathé Diba, le conservateur de l’Amp de Joal.
«Toutes les populations de Joal vivent des produits de la pêche. C’est avec leurs revenus que les femmes paient les frais de scolarité de leurs enfants. Qui parle de l’Amp, parle de repos biologique des espèces halieutiques, de reproduction des ressources. C’est pourquoi le quai de pêche de Joal est l’un des plus grands de l’Afrique», souligne Bara Top, chargé du plaidoyer du programme Pape Bio.
L’Uicn veut insuffler une dynamique régionale pour la gestion efficace des aires marines protégées des risques climatiques et la capitalisation des expériences et connaissances à tous les niveaux, pour lutter contre la criminalité environnementale.
Bes bi
En effet, sur 174 km², 20,700 sont fermés pour la reproduction des espèces. Ceci est le fruit d’un travail de longue haleine pour convaincre les pêcheurs que ces aires marines protégées, leur sont d’autant plus profitables qu’elles permettent une bonne gestion des ressources.
«L’aire marine protégée de Joal est l’une des premières Amp créées en Afrique. L’objectif est la conservation de la biodiversité, la valorisation des parts des ressources marines côtières et le développement durable. A Joal, la principale activité économique, c’est la pêche. Sans cette aire marine protégée, les acteurs ne pourraient pas vivre de leur travail. Actuellement, il y a, à Joal, six groupements de femmes qui sont dans des activités génératrices de revenus», a déclaré Mapathé Diba, le conservateur de l’Amp de Joal.
«Toutes les populations de Joal vivent des produits de la pêche. C’est avec leurs revenus que les femmes paient les frais de scolarité de leurs enfants. Qui parle de l’Amp, parle de repos biologique des espèces halieutiques, de reproduction des ressources. C’est pourquoi le quai de pêche de Joal est l’un des plus grands de l’Afrique», souligne Bara Top, chargé du plaidoyer du programme Pape Bio.
L’Uicn veut insuffler une dynamique régionale pour la gestion efficace des aires marines protégées des risques climatiques et la capitalisation des expériences et connaissances à tous les niveaux, pour lutter contre la criminalité environnementale.
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