"Dans le dernier communiqué où il voue aux gémonies ses collègues de l’opposition, parce que simplement ils défendent un droit légitime que leur confère la législation parlementaire, celui de se constituer en groupe parlementaire, il a atteint le comble de l’ignominie, oubliant ainsi que « quand on le pointe l’index à quelqu’un, on replie aussi le pouce vers soi", indique la présidente du Conseil départemental de Bambey qui rappelle qu'en réalité, "son écriture, déloyale, a révélé inconsciemment ce que lui, consciemment, ne voulait pas dévoiler, car elle en a dit plus loin qu’il ne le croyait, tant "l’inconscient est bavard . C’est pour dire que, d’une part, ses grossièretés sont symptomatiques de sa véritable personnalité : un homme qui a l’insulte à la bouche".
"D’autre part, poursuit-elle la député libérale, en continuant seul de soutenir Modou Diagne Fada, entre temps beaucoup de ses collègues députés de la mouvance présidentielle se sont rendus à l’évidence en encourageant la médiation, il se révèle comme le principal suppôt qui a engagé ce dernier dans cette funeste équipée. Naturellement, mon collègue président Moustapha Diakhaté joue son baroud d’honneur dans un combat où il a déjà perdu la face".
Face à cette situation, Aïda Mbodj "l'invite plutôt à la sérénité pour la promotion de l’État de droit et la préservation des valeurs fondamentales qui font la fierté de notre grande démocratie". Car, dit-elle, "depuis 4 ans, le régime de Macky Sall, dont il perpétue la ringardise à l’Assemblée nationale, ne s’illustre que dans la violation des droits et des libertés des citoyens. Si ce ne sont pas des opposants ou des journalistes qui sont injustement emprisonnés, ce sont des députés qui subissent l’acharnement d’une majorité parlementaire aux abois".
"Honorable, il n’est jamais trop tard pour vous ressaisir, ce mot pourra sans doute vous y aider : le boutefeu de la sédition n’édifie à la longue qu’un effondrement", conclut la présidente du groupe parlementaire des "Démocrates et Libéraux".
"D’autre part, poursuit-elle la député libérale, en continuant seul de soutenir Modou Diagne Fada, entre temps beaucoup de ses collègues députés de la mouvance présidentielle se sont rendus à l’évidence en encourageant la médiation, il se révèle comme le principal suppôt qui a engagé ce dernier dans cette funeste équipée. Naturellement, mon collègue président Moustapha Diakhaté joue son baroud d’honneur dans un combat où il a déjà perdu la face".
Face à cette situation, Aïda Mbodj "l'invite plutôt à la sérénité pour la promotion de l’État de droit et la préservation des valeurs fondamentales qui font la fierté de notre grande démocratie". Car, dit-elle, "depuis 4 ans, le régime de Macky Sall, dont il perpétue la ringardise à l’Assemblée nationale, ne s’illustre que dans la violation des droits et des libertés des citoyens. Si ce ne sont pas des opposants ou des journalistes qui sont injustement emprisonnés, ce sont des députés qui subissent l’acharnement d’une majorité parlementaire aux abois".
"Honorable, il n’est jamais trop tard pour vous ressaisir, ce mot pourra sans doute vous y aider : le boutefeu de la sédition n’édifie à la longue qu’un effondrement", conclut la présidente du groupe parlementaire des "Démocrates et Libéraux".