C’est ainsi qu’il a aperçu une jeune fille courant derrière un jeune homme en criant qu’il lui aurait arraché son portable. C’est ainsi que le sieur Ayibe Gueye et son ami ont bloqué le jeune homme qui a eu le reflexe de jeter le portable qu’une bonne volonté ayant volé au secours de la fille a remis à cette dernière. Mais au même moment où la fille poursuivait son voleur, un groupe de jeunes courait également derrière elle en criant que leur ami n’est pas un voleur. Avant d’extirper le voleur des mains des deux témoins de la scène.
Des jeunes du quartier, qui regardaient de loin la scène sont ainsi venus prêter main forte aux deux témoins tout en tentant de lyncher le voleur. Plutôt que de quitter les lieux, les complices du voleur se sont opposé farouchement à son arrestation en se livrant à une bataille rangée avec les jeunes du quartier. Et pour éviter que la situation ne dégénère, l’un des témoins s’est résolu à appeler la police.
Mais avant l’arrivée des forces de l’ordre, les voisins avaient réussi à repousser les agresseurs. Ces derniers ont repris leur chemin en faisant d’autres victimes dans le quartier. Et c’est au moment où ils essayaient de voler une moto dansles parages que l’un des agresseurs du nom de Mamadou C a été interpelé pendant que ses autres compagnons prenaient la tangente.
Face aux limiers, Abdourahmane Mb, l’un des mis en cause, a nié les faits qui lui sont reprochés. « Le 04 mars dernier, j’ai quitté le stade Demba Diop sur ma charrette aux environs de 10 heures pour me rendre au rond point JVC à Sacré Cœur. Sur le chemin du retour, j’ai fait un détour à Castors pour acheter du mil afin de nourrir mon cheval. Arrivé au niveau des deux stations Total, j’ai aperçu un groupe de jeunes en train de courir. Pour ne pas aller dans leur direction, j’ai pris l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.
Là également, il y avait un autre groupe de jeunes. Certains parmi eux sont montés sur ma charrette sans mon consentement. Au moment où j’avançais, un des jeunes a arraché le téléphone portable d’une dame qui était dans un bus. Les mécaniciens, qui étaient dans les alentours et qui ont vu la scène, sont intervenus et les individus qui étaient sur ma charrette ont pris la fuite. C’est ainsi que les mécaniciens m’ont interpellé et m’ont accusé de faire partie du groupe de jeunes agresseurs », s’est défendu A. Mbaye.
Quant à M C, il s’est dit victime lui aussi des agresseurs. « Je suis une victime dans cette affaire car mon téléphone et ma sacoche ont été arrachés. Quant au téléphone portable que je détiens, je ne l’ai pas volé, mais je l’ai ramassé ». Les deux mis en cause ont été arrêtés et déférés au parquet en attendant d’être fixés sur leur sort. En attendant, le reste de la bande court toujours.
Le Témoin
Des jeunes du quartier, qui regardaient de loin la scène sont ainsi venus prêter main forte aux deux témoins tout en tentant de lyncher le voleur. Plutôt que de quitter les lieux, les complices du voleur se sont opposé farouchement à son arrestation en se livrant à une bataille rangée avec les jeunes du quartier. Et pour éviter que la situation ne dégénère, l’un des témoins s’est résolu à appeler la police.
Mais avant l’arrivée des forces de l’ordre, les voisins avaient réussi à repousser les agresseurs. Ces derniers ont repris leur chemin en faisant d’autres victimes dans le quartier. Et c’est au moment où ils essayaient de voler une moto dansles parages que l’un des agresseurs du nom de Mamadou C a été interpelé pendant que ses autres compagnons prenaient la tangente.
Face aux limiers, Abdourahmane Mb, l’un des mis en cause, a nié les faits qui lui sont reprochés. « Le 04 mars dernier, j’ai quitté le stade Demba Diop sur ma charrette aux environs de 10 heures pour me rendre au rond point JVC à Sacré Cœur. Sur le chemin du retour, j’ai fait un détour à Castors pour acheter du mil afin de nourrir mon cheval. Arrivé au niveau des deux stations Total, j’ai aperçu un groupe de jeunes en train de courir. Pour ne pas aller dans leur direction, j’ai pris l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.
Là également, il y avait un autre groupe de jeunes. Certains parmi eux sont montés sur ma charrette sans mon consentement. Au moment où j’avançais, un des jeunes a arraché le téléphone portable d’une dame qui était dans un bus. Les mécaniciens, qui étaient dans les alentours et qui ont vu la scène, sont intervenus et les individus qui étaient sur ma charrette ont pris la fuite. C’est ainsi que les mécaniciens m’ont interpellé et m’ont accusé de faire partie du groupe de jeunes agresseurs », s’est défendu A. Mbaye.
Quant à M C, il s’est dit victime lui aussi des agresseurs. « Je suis une victime dans cette affaire car mon téléphone et ma sacoche ont été arrachés. Quant au téléphone portable que je détiens, je ne l’ai pas volé, mais je l’ai ramassé ». Les deux mis en cause ont été arrêtés et déférés au parquet en attendant d’être fixés sur leur sort. En attendant, le reste de la bande court toujours.
Le Témoin