A la recherche de la clé d’une boutique qu’il voulait dévaliser alors que son propriétaire était à la mosquée pour la prière du vendredi, un agresseur a voulu découper au couteau un bébé. Pour sauver son enfant, la maman s’est couchée sur lui, recevant à sa place plusieurs coups de couteau au dos. Les faits se sont passés à la cité Tacko, à Rufisque.
C’est la psychose à la cité Tacko de Rufisque où les agressions sont perpétrées maintenant en plein jour. En atteste, l’acte barbare commis dans ce quartier de’ Rufisque-Nord qui, pourtant, était connu jusqu’ici par les populations de la vieille ville pour son calme et sa quiétude durant la journée.
Sauf que vendredi dernier, on a frôlé le pire dans ce quartier, comme a pu en attester la dame Aida Sène, agressée à coups de couteau dans sa maison.
« C’est au moment de la grande prière, vendredi dernier, qu’un homme d’une forte corpulence, couteau à la main, a fait irruption dans ma chambre pour me demander avec insistance les clés de la boutique dont le gérant était encore à la mosquée pour les besoins de la prière vendredi.
Je lui ai répondu sous le coup de la menace, n’avoir pas la moindre idée de la clé dont il parle, encore moins sur un lieu censé servir de cachette pour la doublure, comme il le prétendait », narre la dame, en revenant sur le fil des évènements.
« C’est sur ces entrefaites qu’il a menacé d’ôter la vie à mon nourrisson, en le coupant avec son couteau si jamais je ne donnais pas suite à sa demande. Je me suis couchée sur mon bébé pour parer les coups. Et c’est ainsi qu’il a planté la lame de son couteau au beau milieu de mon dos, puis au niveau de ma tempe », a narré la victime Aida Sène, trouvée chez elle, samedi dernier, en compagnie de ses voisins et proches venus s’enquérir de son état de santé.
Malgré les nombreux cris de détresses de la dame, l’agresseur qui a pris la fuite, a pu escalader le mur pour ensuite prendre la fuite. Ce que regrette la dame, traumatisée, qui explique que son bourreau a, dans le feu de l’action, mis sens dessus dessous sa chambre à coucher.
Ce cas des plus incongrus repose une fois encore le débat de l’insécurité à Rufisque. L’enclavement de certains quartiers périphériques aidant, dans ces zones, des gens malintentionnés s’en prennent à des personnes vulnérables.
Apres l’annonce de cet acte ignoble, les populations des quartiers environnants, bouleversées par cette agression sauvage, demandent aux autorités de prendre des mesures allant dans le sens de sécuriser les personnes et les biens.
Vox Populi
C’est la psychose à la cité Tacko de Rufisque où les agressions sont perpétrées maintenant en plein jour. En atteste, l’acte barbare commis dans ce quartier de’ Rufisque-Nord qui, pourtant, était connu jusqu’ici par les populations de la vieille ville pour son calme et sa quiétude durant la journée.
Sauf que vendredi dernier, on a frôlé le pire dans ce quartier, comme a pu en attester la dame Aida Sène, agressée à coups de couteau dans sa maison.
« C’est au moment de la grande prière, vendredi dernier, qu’un homme d’une forte corpulence, couteau à la main, a fait irruption dans ma chambre pour me demander avec insistance les clés de la boutique dont le gérant était encore à la mosquée pour les besoins de la prière vendredi.
Je lui ai répondu sous le coup de la menace, n’avoir pas la moindre idée de la clé dont il parle, encore moins sur un lieu censé servir de cachette pour la doublure, comme il le prétendait », narre la dame, en revenant sur le fil des évènements.
« C’est sur ces entrefaites qu’il a menacé d’ôter la vie à mon nourrisson, en le coupant avec son couteau si jamais je ne donnais pas suite à sa demande. Je me suis couchée sur mon bébé pour parer les coups. Et c’est ainsi qu’il a planté la lame de son couteau au beau milieu de mon dos, puis au niveau de ma tempe », a narré la victime Aida Sène, trouvée chez elle, samedi dernier, en compagnie de ses voisins et proches venus s’enquérir de son état de santé.
Malgré les nombreux cris de détresses de la dame, l’agresseur qui a pris la fuite, a pu escalader le mur pour ensuite prendre la fuite. Ce que regrette la dame, traumatisée, qui explique que son bourreau a, dans le feu de l’action, mis sens dessus dessous sa chambre à coucher.
Ce cas des plus incongrus repose une fois encore le débat de l’insécurité à Rufisque. L’enclavement de certains quartiers périphériques aidant, dans ces zones, des gens malintentionnés s’en prennent à des personnes vulnérables.
Apres l’annonce de cet acte ignoble, les populations des quartiers environnants, bouleversées par cette agression sauvage, demandent aux autorités de prendre des mesures allant dans le sens de sécuriser les personnes et les biens.
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