Dix pays sur les 14 ou des incidents de violation étaient signalés ont enregistré d’importantes réductions. Le Niger a enregistré la plus importante réduction ; les incidents y sont tombés de 13 pendant Janvier-Juin 2016, à 4 incidents au cour de la même période en 2015, ce qui représente une baisse de 55%. Le Nigéria a aussi signalé 9 violations contre 20 pendant la période correspondante en 2015. La Gambie a également reporté 4 incidents au cours de la période en considération, contre 10 incidents en Janvier-Juin 2015.
Au niveau des pays, le Nigeria est en tête du classement avec 9 violations, suivi du Ghana avec 8. La Guinée vient en troisième place avec 5 violations, alors que le Benin, la Gambie et le Niger partagent la quatrième position avec 4 violations chacun.
Les attaques physiques (18), arrestations/détentions arbitraires (7) et menaces (6) étaient les types de violation les plus dominants. Cependant, deux cas de meurtre étaient enregistrés pendant la période Janvier-Juin 2016, contre un seul cas pendant la période correspondante de 2015.
Le rapport déplore le fait que, sur les 44 violations, une seule est en cours d’être réparée. Par contre, il a accueilli avec enthousiasme le jugement de la Cour africaine des droits de l’homme ordonnant le Burkina Faso de verser une somme de 70,000 dollars américains de dommages à son citoyen et journaliste Lohé Issa Konaté, qui a été victime en 2012, d’une condamnation injuste à une peine d’un ans de prison ferme.
Le Rapport de suivi de la liberté d’expression en Afrique de l’Ouest du premier semestre de 2016 conclut avec un certain nombre de recommandations aux parties prenantes pour qu’elles prennent de mesures préventives et correctives face aux violations des droits à la liberté d’expression.
Au niveau des pays, le Nigeria est en tête du classement avec 9 violations, suivi du Ghana avec 8. La Guinée vient en troisième place avec 5 violations, alors que le Benin, la Gambie et le Niger partagent la quatrième position avec 4 violations chacun.
Les attaques physiques (18), arrestations/détentions arbitraires (7) et menaces (6) étaient les types de violation les plus dominants. Cependant, deux cas de meurtre étaient enregistrés pendant la période Janvier-Juin 2016, contre un seul cas pendant la période correspondante de 2015.
Le rapport déplore le fait que, sur les 44 violations, une seule est en cours d’être réparée. Par contre, il a accueilli avec enthousiasme le jugement de la Cour africaine des droits de l’homme ordonnant le Burkina Faso de verser une somme de 70,000 dollars américains de dommages à son citoyen et journaliste Lohé Issa Konaté, qui a été victime en 2012, d’une condamnation injuste à une peine d’un ans de prison ferme.
Le Rapport de suivi de la liberté d’expression en Afrique de l’Ouest du premier semestre de 2016 conclut avec un certain nombre de recommandations aux parties prenantes pour qu’elles prennent de mesures préventives et correctives face aux violations des droits à la liberté d’expression.