Les organisations et plateformes régionales féminines de la société civile en Afrique de l’Ouest et au Sahel sont inquiètes de la proportion de violences. En effet, selon elles, « 6,9 millions de personnes vivent dans des conditions déplorables, confrontés à la faim et sans accès aux services sociaux de bases », puis, elles font savoir encore que « 4,5 millions d’entre elles subissent des violences sexuelles et physiques pendant les attaques, sur le chemin de l’exile et dans les lieux de déplacement, et en payent le plus lourd tribut ».
Les cas de violences en cette période de pandémie sont notés dans les circonstances suivantes:
– Les différentes attaques terroristes au Burkina Faso, au Mali, au Nigéria et au Niger ;
– Les violences causées par la crise socio-politique en Guinée ;
– Les violentes contestations par les jeunes concernant les mesures prises dans différents pays ;
– La recrudescence d’incidents en Casamance au Sénégal ;
– L’attaque terroriste à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
Les cas de violences en cette période de pandémie sont notés dans les circonstances suivantes:
– Les différentes attaques terroristes au Burkina Faso, au Mali, au Nigéria et au Niger ;
– Les violences causées par la crise socio-politique en Guinée ;
– Les violentes contestations par les jeunes concernant les mesures prises dans différents pays ;
– La recrudescence d’incidents en Casamance au Sénégal ;
– L’attaque terroriste à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.