Selon nos informations, c’est aujourd’hui que le chauffeur, membre du convoi du Pur qui heurté Cheikh Touré, la deuxième victime des événements tragiques de Tambacounda, sera présenté au Procureur de la République, près le Tribunal de Grande instance de Tambacounda.
En effet, ce sont 27 membres de la délégation du Pur qui se sont entre les mains de la gendarmerie et de la police. Si la police s’occupe d’élucider les circonstances de la mort de Ibrahima Diop, tué à coups de couteau dans son secteur, en interrogeant les 24 membres de la sécurité d’Issa Sall, la gendarmerie, elle, est chargée de l’enquête sur la victime Cheikh Touré, âgé de 26 ans.
Comme l’a relaté hier le Procureur de la République, Demba Traoré, en prenant la route vers Bakel, un des véhicules du cortège d’Issa Sall a mortellement heurté un conducteur de moto-Jakarta, identifié sous le nom de Cheikh Touré, né le 10 Octobre 1993 à Tambacounda de Sékou et Coumba Keïta, marié et père d’un enfant. Lorsqu’ils ont immobilisé le convoi, les gendarmes ont remarqué qu’un des véhicules qui correspondait à la description des témoins, avait encore un impact de choc.
Le chauffeur de la voiture de marque Suziki a été embarqué en même temps que les passagers. Selon nos informations, il n’a pas cherché à nier les faits. Au contraire, ce chauffeur en service à Mourchid Tv d’après ses déclarations, a effectivement affirmé avoir « roulé » sur la victime mais jure que c’était pour échapper à une embuscade. Il sera présenté au Procureur.
Quant aux membres de la garde rapprochée du Pur, ils sont encore sous enquête à la police de Tambacounda. Mais d’ores et déjà, plusieurs armes interdites (couteaux, machettes, matraques…) ont été saisies sur eux. N’empêche, les enquêteurs cherchent à identifier le meurtrier présumé d’Ibrahima Diop, qui selon les témoins, a commis son acte avant de rallier le cortège.
Selon le certificat de genre établi par le docteur Sogo Millogo du Centre hospitalier de Tambacounda, la victime est morte par hémorragie interne suite à une plaie pénétrante postérieure du thorax par arme blanche. Les enquêteurs ont, par ailleurs, déployé de gros moyens pour identifier les agresseurs des journalistes. Vingt-six confrères ont été entendus à ce propos dans le cadre de la procédure en cours.
En effet, ce sont 27 membres de la délégation du Pur qui se sont entre les mains de la gendarmerie et de la police. Si la police s’occupe d’élucider les circonstances de la mort de Ibrahima Diop, tué à coups de couteau dans son secteur, en interrogeant les 24 membres de la sécurité d’Issa Sall, la gendarmerie, elle, est chargée de l’enquête sur la victime Cheikh Touré, âgé de 26 ans.
Comme l’a relaté hier le Procureur de la République, Demba Traoré, en prenant la route vers Bakel, un des véhicules du cortège d’Issa Sall a mortellement heurté un conducteur de moto-Jakarta, identifié sous le nom de Cheikh Touré, né le 10 Octobre 1993 à Tambacounda de Sékou et Coumba Keïta, marié et père d’un enfant. Lorsqu’ils ont immobilisé le convoi, les gendarmes ont remarqué qu’un des véhicules qui correspondait à la description des témoins, avait encore un impact de choc.
Le chauffeur de la voiture de marque Suziki a été embarqué en même temps que les passagers. Selon nos informations, il n’a pas cherché à nier les faits. Au contraire, ce chauffeur en service à Mourchid Tv d’après ses déclarations, a effectivement affirmé avoir « roulé » sur la victime mais jure que c’était pour échapper à une embuscade. Il sera présenté au Procureur.
Quant aux membres de la garde rapprochée du Pur, ils sont encore sous enquête à la police de Tambacounda. Mais d’ores et déjà, plusieurs armes interdites (couteaux, machettes, matraques…) ont été saisies sur eux. N’empêche, les enquêteurs cherchent à identifier le meurtrier présumé d’Ibrahima Diop, qui selon les témoins, a commis son acte avant de rallier le cortège.
Selon le certificat de genre établi par le docteur Sogo Millogo du Centre hospitalier de Tambacounda, la victime est morte par hémorragie interne suite à une plaie pénétrante postérieure du thorax par arme blanche. Les enquêteurs ont, par ailleurs, déployé de gros moyens pour identifier les agresseurs des journalistes. Vingt-six confrères ont été entendus à ce propos dans le cadre de la procédure en cours.