Les propriétaires terriens regroupés dans un comité de «Lutte pour la défense des paysans de Diockoul» qui jugent cette délibération illégale, voulaient s’en prendre aux agents de «Senegindia» qui s’affairaient à poser des barbelés.
Les éléments de la gendarmerie, présents sur les lieux, les ont dissuadés, il s’en est suivi des échanges de jets de pierres contre les grenades lacrymogènes. Dans leur retraite, les manifestants s’en pris à trois véhicules de la marie qu’elles ont saccagé. Ils ont été repoussés par des coups de sommation, rapporte « L’Observateur ».
Interpellé, le maire, Me Cheikh Sadibou Diack indexe ses opposants et annonce avoir porté plainte contre eux. «Ce sont les militants du PDS qui sont derrière cette affaire, aucun parmi eux, n’a un mètre carré de terre.
D’ailleurs, ceux qui revendiquent ces champs, ne peuvent brandir aucun document (…) J’ai déjà une plainte à la Brigade de gendarmerie de Kébémer, après avoir fait constater par huissier, les dégâts.
Nous avons un délibéré qui a été approuvé par l’autorité administrative, donc, si des gens pensent être lésés, ils doivent saisir la justice, au lieu de détruire des biens appartenant à autrui », dit-il.
Les éléments de la gendarmerie, présents sur les lieux, les ont dissuadés, il s’en est suivi des échanges de jets de pierres contre les grenades lacrymogènes. Dans leur retraite, les manifestants s’en pris à trois véhicules de la marie qu’elles ont saccagé. Ils ont été repoussés par des coups de sommation, rapporte « L’Observateur ».
Interpellé, le maire, Me Cheikh Sadibou Diack indexe ses opposants et annonce avoir porté plainte contre eux. «Ce sont les militants du PDS qui sont derrière cette affaire, aucun parmi eux, n’a un mètre carré de terre.
D’ailleurs, ceux qui revendiquent ces champs, ne peuvent brandir aucun document (…) J’ai déjà une plainte à la Brigade de gendarmerie de Kébémer, après avoir fait constater par huissier, les dégâts.
Nous avons un délibéré qui a été approuvé par l’autorité administrative, donc, si des gens pensent être lésés, ils doivent saisir la justice, au lieu de détruire des biens appartenant à autrui », dit-il.