Henry Ndiaye, enseignant a été mortellement tué ce dimanche (avant-hier) à Ngohé, suite une altercation avec Henriette Diatta, élève en classe de Terminale, pour qui il servait de répétiteur (Cours à domicile) à ses heures perdues.
« Certaines personnes disent qu’il tentait de violer Henriette, ce n’est pas vrai. Les deux familles ( Ndiaye et Diatta) sont voisines et aucune d’elles n’a souhaité que les choses se déroulent ainsi. Henri avait l’habitude de fréquenter cette maison, parce que nous entretenons de bons rapports de voisinage », déclare David Ndiaye, frère de la victime. Qui ajoute : «Je ne suis pas témoin des faits mais, mais ceux étaient présents m’ont dit qu’ils jouaient ensemble comme d’habitude ».
Interrogé par « L’Observateur », David Ndiaye soutient que « Henri avait de bons rapport avec Henriette. Ils avaient l’habitude de plaisanter à chaque fois que l’occasion se présentait. Il arrivait qu’Henri soutienne financièrement cette famille ».
Henri Ndiaye, enseignant en service à Fass Barigo (Kaolack), est originaire de Ngohé où le drame s’est produit dans la cour d’un bar situé à l’intérieur de la concession de Henriette Diatta et des siens.
Il a rendu l’âme quelques heures après son évacuation à l’hôpital Heinrich Lübke de Diourbel.
« Certaines personnes disent qu’il tentait de violer Henriette, ce n’est pas vrai. Les deux familles ( Ndiaye et Diatta) sont voisines et aucune d’elles n’a souhaité que les choses se déroulent ainsi. Henri avait l’habitude de fréquenter cette maison, parce que nous entretenons de bons rapports de voisinage », déclare David Ndiaye, frère de la victime. Qui ajoute : «Je ne suis pas témoin des faits mais, mais ceux étaient présents m’ont dit qu’ils jouaient ensemble comme d’habitude ».
Interrogé par « L’Observateur », David Ndiaye soutient que « Henri avait de bons rapport avec Henriette. Ils avaient l’habitude de plaisanter à chaque fois que l’occasion se présentait. Il arrivait qu’Henri soutienne financièrement cette famille ».
Henri Ndiaye, enseignant en service à Fass Barigo (Kaolack), est originaire de Ngohé où le drame s’est produit dans la cour d’un bar situé à l’intérieur de la concession de Henriette Diatta et des siens.
Il a rendu l’âme quelques heures après son évacuation à l’hôpital Heinrich Lübke de Diourbel.