La police sénégalaise parlait d’exagération des faits, soulignant que le Capitaine de Police, Moussa Ndiaye fait bien partie de la Senfpu2, le contingent déployé au Mali dans le cadre de la Minusma, qu’il n’a pas été interpellé encore moins interrogé par la Douane malienne et que tout ce qui s’en était suivi n’était qu’«un malentendu avec les éléments de la douane malienne ; lequel a été géré au plus haut niveau» et que «finalement, tout est rentré dans l’ordre. L’Officier de police est rentré paisiblement à la base, sous escorte de la Gendarmerie malienne de Kayes à Bamako et sous protection onusienne de la capitale malienne à Gao où est basé de la Senfpu2».
Si on revient sur cette information, c’est que de son côté la Minusma, renseigne Le Populaire, a tenu à apporter des «clarifications». Selon la mission onusienne, «aussitôt informé de l’incident par les autorités maliennes, le Chef de la police des Nations Unies (Unpol) de la Minusma a contacté les autorités compétentes du pays contributeur (le Sénégal) pour vérifier les faits. Il s’est avéré que le lot saisi de 25 caisses contenant 7 500 munitions était destiné à réapprovisionner l’Unité de Police Constituée en question, déployée au sein de la Minusma dans la région de Gao. Il a été convoyé par un officier de cette même unité».
Ensuite, souligne-t-elle, «une fois les pièces justificatives reçues des autorités du pays contributeur, elles ont été fournies aux autorités maliennes. Le lot de munitions a été convoyé à Bamako sous l’escorte de la Gendarmerie de Kayes».
La mission révèle que «ces munitions seront acheminées par transport aérien par la Minusma à destination de Gao pour y être livrées au Contingent concerné». La Minusma a tenu à relever que «les pays contributeurs de police ont la charge de fournir et d’assurer par leurs propres moyens la provision du matériel requis à leurs contingents et éléments déployés dans le cadre des missions de maintien de la paix.
Dans le cas d’espèce, nous apprend-on, le pays contributeur a été notifié et a indiqué que toutes les mesures seront prises pour éviter qu’un tel regrettable incident ne se reproduise». Enfin, la Minusma rappelle que «les pays contributeurs de police se mobilisent en faveur de la paix au Mali, en déployant des éléments destinés, entre autres à contribuer à la protection les civils et à la stabilisation du pays».
Si on revient sur cette information, c’est que de son côté la Minusma, renseigne Le Populaire, a tenu à apporter des «clarifications». Selon la mission onusienne, «aussitôt informé de l’incident par les autorités maliennes, le Chef de la police des Nations Unies (Unpol) de la Minusma a contacté les autorités compétentes du pays contributeur (le Sénégal) pour vérifier les faits. Il s’est avéré que le lot saisi de 25 caisses contenant 7 500 munitions était destiné à réapprovisionner l’Unité de Police Constituée en question, déployée au sein de la Minusma dans la région de Gao. Il a été convoyé par un officier de cette même unité».
Ensuite, souligne-t-elle, «une fois les pièces justificatives reçues des autorités du pays contributeur, elles ont été fournies aux autorités maliennes. Le lot de munitions a été convoyé à Bamako sous l’escorte de la Gendarmerie de Kayes».
La mission révèle que «ces munitions seront acheminées par transport aérien par la Minusma à destination de Gao pour y être livrées au Contingent concerné». La Minusma a tenu à relever que «les pays contributeurs de police ont la charge de fournir et d’assurer par leurs propres moyens la provision du matériel requis à leurs contingents et éléments déployés dans le cadre des missions de maintien de la paix.
Dans le cas d’espèce, nous apprend-on, le pays contributeur a été notifié et a indiqué que toutes les mesures seront prises pour éviter qu’un tel regrettable incident ne se reproduise». Enfin, la Minusma rappelle que «les pays contributeurs de police se mobilisent en faveur de la paix au Mali, en déployant des éléments destinés, entre autres à contribuer à la protection les civils et à la stabilisation du pays».