Oustaz Bayo qui aurait violé neuf mineures de son internat sis à Jaxaay, a été envoyé en prison.
Identifié sous le nom de B. Bayo, le mis en cause âgé de 35 ans, couchait avec ‘ses’ élèves mineures, en les obligeant à se soumettre à la contraception, pour ne pas tomber enceintes. Au début de l’histoire seules deux victimes étaient recensées, au fil des heures, 7 autres sont venues s’ajouter à la liste de jeunes filles violées par Oustaz B. Bayo.
Arrêté puis placé en garde-à -vue, il a été déféré au parquet à la fin de sa garde-à -vue, pour des viols répétés sur neuf (9) adolescentes pensionnaires de ladite école. Après un retour de parquet, il a été déposé en prison.
D’après "L’Observateur", repris par "Senenews", le rapport gynécologique mentionne de graves blessures infligées aux filles victimes de viol de la part de leur marabout. Le rapport fait état de « multiples déchirures de l’hymen ».
L’épouse d’Oustaz Bayo aurait tenté d’entraver l’enquête, en incitant les filles à ne pas témoigner, entraînant son interpellation pour « obstruction à la justice».
D’après les témoignages des victimes, elle était responsable de l’éducation des filles, tandis qu’Oustaz Bayo s’occupait des garçons. Ces révélations ont suscité la demande de fermeture définitive de l’internat, avec des appels à aider les pensionnaires à retrouver leurs familles.
Identifié sous le nom de B. Bayo, le mis en cause âgé de 35 ans, couchait avec ‘ses’ élèves mineures, en les obligeant à se soumettre à la contraception, pour ne pas tomber enceintes. Au début de l’histoire seules deux victimes étaient recensées, au fil des heures, 7 autres sont venues s’ajouter à la liste de jeunes filles violées par Oustaz B. Bayo.
Arrêté puis placé en garde-à -vue, il a été déféré au parquet à la fin de sa garde-à -vue, pour des viols répétés sur neuf (9) adolescentes pensionnaires de ladite école. Après un retour de parquet, il a été déposé en prison.
D’après "L’Observateur", repris par "Senenews", le rapport gynécologique mentionne de graves blessures infligées aux filles victimes de viol de la part de leur marabout. Le rapport fait état de « multiples déchirures de l’hymen ».
L’épouse d’Oustaz Bayo aurait tenté d’entraver l’enquête, en incitant les filles à ne pas témoigner, entraînant son interpellation pour « obstruction à la justice».
D’après les témoignages des victimes, elle était responsable de l’éducation des filles, tandis qu’Oustaz Bayo s’occupait des garçons. Ces révélations ont suscité la demande de fermeture définitive de l’internat, avec des appels à aider les pensionnaires à retrouver leurs familles.