La police a neutralisé la mafia à l’origine de la diffusion sur le groupe WhatsApp, dénommé «Dash Plan », dans lequel des noms et numéros de filles présentées comme des «filles faciles » sur les réseaux sociaux.
Ces pauvres victimes, aux nombres de 232 ont souffert le martyr à cause de ces pratiques frauduleuses qui symbolisent encore les dérives dans les réseaux dans les réseaux sociaux.
Selon Libération qui donne l’information, cinq suspects sont interrogés depuis hier sous le régime de la garde-à-vue à la Division spéciale de lutte contre la Cybercriminalité qui a pu remonter aux cerveaux de cette opération. Un étudiant figure dans le lot des individus interpellés qui, pour la plupart, ont fait des aveux face aux enquêteurs. Le renseigne que les motivations de ces individus étaient financières.
Le modus opérandi de cette mafia est simple : obtenir le nom et le numéro d’une fille formellement identifiée, avant de les mettre dans le groupe.
Jetée en pâture, la « cible » subissait toute sortes de harcèlement jusqu’à payer les administrateurs du groupe afin que son nom soit enlevé.
L’enquête se poursuit.
Ces pauvres victimes, aux nombres de 232 ont souffert le martyr à cause de ces pratiques frauduleuses qui symbolisent encore les dérives dans les réseaux dans les réseaux sociaux.
Selon Libération qui donne l’information, cinq suspects sont interrogés depuis hier sous le régime de la garde-à-vue à la Division spéciale de lutte contre la Cybercriminalité qui a pu remonter aux cerveaux de cette opération. Un étudiant figure dans le lot des individus interpellés qui, pour la plupart, ont fait des aveux face aux enquêteurs. Le renseigne que les motivations de ces individus étaient financières.
Le modus opérandi de cette mafia est simple : obtenir le nom et le numéro d’une fille formellement identifiée, avant de les mettre dans le groupe.
Jetée en pâture, la « cible » subissait toute sortes de harcèlement jusqu’à payer les administrateurs du groupe afin que son nom soit enlevé.
L’enquête se poursuit.