Les faits se sont produits vers 23H00, dans l'appartement familial situé dans le quartier "Quatre-Chemins" de cette ville populaire au nord de la capitale. La victime, mère de cinq enfants, a reçu plusieurs coups de couteau, dont un à la carotide, ont rapportés «Le Parisien » et « BfmTv ».
Âgés de 8 ans à 10 mois, les enfants ont été placés. Un voisin a retrouvé le corps de la femme sur le palier de l'immeuble, où elle venait de s'effondrer.
En fuite, le suspect est l’ex-mari de la victime
Le suspect, en fuite, était toujours recherché vendredi soir. Mais selon la page «Facebook » du groupe «Femme Chic» pour laquelle elle est la représentante en France, la jeune dame a été poignardée par son ex-mari.
L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département.
Le parquet de Bobigny a indiqué à l'AFP avoir appliqué le protocole dit "féminicide", une procédure mise en place lors de violences faites aux femmes (homicide ou tentative d'homicide d'une particulière gravité) en Seine-Saint-Denis depuis 2016. Il permet "en pareille circonstance, une prise en charge et un accompagnement spécifique des enfants", a expliqué le parquet. "Avec notamment une évaluation immédiate de leur état au service pédo-psychiatrique de l'hôpital Robert-Ballanger".
Âgés de 8 ans à 10 mois, les enfants ont été placés. Un voisin a retrouvé le corps de la femme sur le palier de l'immeuble, où elle venait de s'effondrer.
En fuite, le suspect est l’ex-mari de la victime
Le suspect, en fuite, était toujours recherché vendredi soir. Mais selon la page «Facebook » du groupe «Femme Chic» pour laquelle elle est la représentante en France, la jeune dame a été poignardée par son ex-mari.
L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département.
Le parquet de Bobigny a indiqué à l'AFP avoir appliqué le protocole dit "féminicide", une procédure mise en place lors de violences faites aux femmes (homicide ou tentative d'homicide d'une particulière gravité) en Seine-Saint-Denis depuis 2016. Il permet "en pareille circonstance, une prise en charge et un accompagnement spécifique des enfants", a expliqué le parquet. "Avec notamment une évaluation immédiate de leur état au service pédo-psychiatrique de l'hôpital Robert-Ballanger".