Une histoire de photos et de vidéos pornographiques défraie la chronique à Thiès mettant en cause un journaliste et une femme mariée et mère de 5 enfants. Cette affaire a été jugée, mercredi dernier, par le tribunal hors classe de Thiès et mis en délibéré pour aujourd’hui. En effet, la dame L.T, dont le mari vit à l’étranger, a commencé, rapporte le journal Libération, à entretenir une relation amoureuse avec le journaliste Mouhamadou Badji, ancien manager du site thiesexpress.com. Cette idylle, qui a duré 3 années, a pris fin lorsque la dame a décidé d’y mettre un trait. Chose que le sieur Badji refuse d’accepter. Ainsi, il commence à se douter que sa « dulcinée » l’a largué pour un autre, un greffier. Ne pouvant pas supporter cette « trahison », le journaliste décide de se venger. Alors qu’il détenait des preuves mettant en scène leur intimité, il fait des copies et les envoie à certains correspondants de la presse
Cependant, il informe la dame en lui demandant de ne pas rompre sinon leur secret sera divulgué via la presse et les sites internet. Suspectant un chantage, T.L décide de porter l’affaire devant la justice en portant plainte à la gendarmerie de Thiès. Aussitôt, Mouhamadou Badji est placé sous mandat de dépôt et ses confrères à qui il a envoyé les photos et vidéos entendus à titre de témoins. Lors du procès, la dame a demandé la rondelette somme d’un milliard de francs Cfa pour dédommagement.
Mariama Kobar Saleh
Cependant, il informe la dame en lui demandant de ne pas rompre sinon leur secret sera divulgué via la presse et les sites internet. Suspectant un chantage, T.L décide de porter l’affaire devant la justice en portant plainte à la gendarmerie de Thiès. Aussitôt, Mouhamadou Badji est placé sous mandat de dépôt et ses confrères à qui il a envoyé les photos et vidéos entendus à titre de témoins. Lors du procès, la dame a demandé la rondelette somme d’un milliard de francs Cfa pour dédommagement.
Mariama Kobar Saleh