La découverte macabre a eu lieu lundi dernier dans un canal de l’Onas, au quartier Diamaguène (Thiès-Ouest), à hauteur du mur de clôture qui longe la voie ferrée. Les ossements qui restaient du corps de cheikh Mbaye, un taximan porté disparu depuis le 23 avril dernier, étaient enveloppés dans un drap appartenant à son épouse.
D’ailleurs, c’est grâce à ce drap et l’habit de couleur noir qu’il portait le jour de sa disparition, que les enquêteurs ont pu identifier ce père de 7 enfants, âgé de 65 ans, nous rappelle « L’As ».
L’enquête s’est immédiatement orientée vers son entourage immédiat d’autant que le domicile du défunt se trouvait à quelques mètre du canal, où le corps a été jeté avant que le couvercle ne soit refermé.
Des sources autorisées renseignent, sans plus de précisions, que des “objets personnels” appartenant à Cheikh Mbaye ont été retrouvés auprès du mis en cause, qui est incapable d’expliquer comment ils ont fini entre ses mains.
D’ailleurs, c’est grâce à ce drap et l’habit de couleur noir qu’il portait le jour de sa disparition, que les enquêteurs ont pu identifier ce père de 7 enfants, âgé de 65 ans, nous rappelle « L’As ».
L’enquête s’est immédiatement orientée vers son entourage immédiat d’autant que le domicile du défunt se trouvait à quelques mètre du canal, où le corps a été jeté avant que le couvercle ne soit refermé.
Des sources autorisées renseignent, sans plus de précisions, que des “objets personnels” appartenant à Cheikh Mbaye ont été retrouvés auprès du mis en cause, qui est incapable d’expliquer comment ils ont fini entre ses mains.